• 777, la clé pour décrypter l'Apocalypse

     

     

    Dans son dernier ouvrage, « 777 : la chute du Vatican et de Wall Street selon saint Jean », Pierre Jovanovic avance une hypothèse aussi fascinante que terrifiante : le texte de l’Apocalypse serait un avertissement de la chute imminente du Vatican et d’une banqueroute mondiale semant chaos et confusion sur l’ensemble de la planète. Résumé d’une incroyable enquête qui engendre bien des questions sur le devenir de l’Humanité.

     

    LA CRISE FINANCIERE ET SES ETRANGES SYMBOLES

     

    Pour l’auteur, tout a commencé le 29 septembre 2008. Ce jour-là marque le début « officiel » de la crise financière, avec une chute spectaculaire du Dow Jones affichant à la fin de la séance de Wall Street -777,7. C’est la pire chute de l’indice boursier depuis sa création ; on se remémore immédiatement la Grande Dépression de 1929 et ses conséquences dramatiques. De ce jour maudit par tous les banquiers de la planète, 2 éléments fondamentaux sont à retenir.

    1/- Ce -777,7 tout d’abord. D’habitude, le 777 est le chiffre porte-bonheur par excellence pour les adeptes du bandit-manchot, puisqu’il symbolise dans tous les casinos du monde le gain du jackpot à une machine à sous. Le chiffre 777 peut donc être interprété comme un jackpot inversé funeste, la ruine au lieu de la fortune ! « Comme un tapis roulant qui, tout à coup, se met à fonctionner à l’envers » explique l’auteur, qui compare cet évènement à une Apocalypse financière.

    2/- La date de cet effondrement boursier est également loin d’être anodine. Le 29 septembre est en effet le jour de la fête des Anges Gabriel, Michaël et Raphaël. Plus troublant encore, ce 29 septembre 2008 marquait aussi Rosh Hashana, c’est-à-dire le jour de la nouvelle année juive ! Etrange façon de commencer l’année…

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    Coïncidences ? De ces curieuses observations, Pierre Jovanovic estime qu’il faut y voir un avertissement divin, qu’il y a un message à décrypter : « Que le surréaliste 777,7 s’affiche le jour de la fête des Anges et AUSSI de la nouvelle année juive relève clairement de l’action d’un autre monde ». Il consulte alors l’ensemble des ouvrages bibliques pour trouver un lien qui le mettrait sur la voie. Et c’est finalement dans le texte de l’Apocalypse de saint Jean que survient le déclic ; le chiffre 7 y est étrangement utilisé à profusion et certains passages semblent clairement faire référence à notre époque… Ecrit il y a environ 1900 ans, ce texte a déjà fait couler beaucoup d’encre, et de nombreux auteurs se sont échinés en vain à en expliquer la signification cachée. Selon Jovanovic, si personne n’a encore pu faire la lumière sur ce récit opaque, c’est tout simplement parce qu’il ne prend son sens qu’aujourd’hui car il désigne notre époque !

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    SUR LES TRACES DE LA PROPHETIE DE JEAN

     

    L’hypothèse est pertinente : et si la Bête dont parle Jean dans l’Apocalypse représentait l’Argent, le système financier et bancaire actuel ? C’est en effet dans le texte de Jean que l’on retrouve la fameuse phrase : « Personne ne pourra vendre, ni acheter s’il n’est pas marqué par le nombre de la Bête ». Or, l’auteur fait remarquer à juste titre que le récent système bancaire, mis en place dans les années 60 et 70, correspond bien à cette description et ce, pour la première fois dans l’histoire de l’Humanité. Depuis des millénaires en effet, l’argent circulait entre les hommes sans contraintes ; désormais il est extrêmement difficile de gérer ses finances sans passer par l’assistance d’une banque. Nous sommes tous « marqués » par notre banque, qui regarde, vérifie et autorise l’ensemble de nos achats et de nos ventes. Et en l’absence de cette marque- par exemple en cas d’interdit bancaire- il est devenu impossible d’acheter ou de vendre…

    « A partir des années 1970, il y a eu une révolution silencieuse ! Nous avons perdu, sans même nous en rendre compte, la liberté de disposer de notre argent. (…) Tout a été mis en place pour empêcher le déposant d’un compte de disposer librement de ses fonds. Le système est maintenant verrouillé. Non seulement vous ne pouvez plus acheter, ni vendre sans une banque et une carte, mais en plus vous ne pouvez plus disposer de votre argent comme vous l’entendez. Vu sous l’angle du texte de saint Jean, on peut affirmer que le système de marquage dont il parle est bien mis en place (…) : votre numéro est suivi, analysé, tracé, écrit, enregistré, compensé et stocké en 15 secondes, d’un bout à l’autre de la planète, quels que soient les banques, les commerçants, les pays et les devises ».

    Fort de ce parallèle, Jovanovic cherche alors les indices qui prouveraient que la Bête dont Jean fait référence dans l’Apocalypse est bien ce système financier et bancaire moderne qui vient de s’effondrer bruyamment sur les places boursières du monde entier, entraînant dans sa chute vertigineuse la confiance ; une valeur essentielle sans laquelle l’économie ne peut pas fonctionner. La catastrophe du 29 septembre 2008 est-elle le premier signe avant-coureur d’une Banqueroute Universelle ?

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    L’ORDINATEUR, UNE CREATION DU DIABLE ?

     

    L’auteur note que c’est précisément l’arrivée de l’ordinateur et de ses immenses capacités de calcul qui a permis aux banques un développement exponentiel et un contrôle de plus en plus verrouillé du système monétaire. Anecdote intéressante : le premier modèle d’ordinateur personnel présenté par Apple en 1976 fut baptisé « 666 » ; au départ, son prix avait été fixé à… 777 dollars, mais les deux associés Steve Jobs et Steve Wozniak décidèrent finalement de baisser ce montant à … 666 dollars ! C’est aussi à cette époque que Steve Jobs transforma le logo de la société pour la fameuse pomme croquée que nous connaissons tous. La première publicité de la marque aura pour slogan : « Byte into an apple », ce qui veut dire « Croque dans une pomme ». La pomme que le Diable a offerte à Eve et qu’elle a croquée pour le plus grand malheur de l’Humanité ?

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    L’APOCALYPSE SELON SAINT JEAN

     

    Pour l’auteur, Jean a eu une expérience hors du corps authentique et il a décrit ce que les Anges et le Christ lui avaient montré de notre époque et de la Fin des Temps. Si le récit utilise des métaphores pour désigner le Vatican, les Médias ou le Système bancaire, c’est que Jean a vu le monde moderne et a tenté de l’expliquer avec les mots d’un homme limité par les connaissances de son siècle, il y a près de 2000 ans. Le texte de Jean se divise en 2 parties. Dans la première, le Christ lui dicte 7 lettres aux 7 premières petites églises qui se formaient dans la Turquie actuelle et symbolisaient le début d’une nouvelle ère. Dans la seconde partie, les Anges et le Christ montrent à Jean le futur du monde, la fin d’une ère, ou encore la fin de l’Eglise (la Fin des Temps). En voici un extrait, traduit par De Sacy :

    « Je vis ensuite s’élever de la mer une Bête qui avait sept têtes et dix cornes, et sur ses cornes dix diadèmes, et sur ses têtes des noms de blasphèmes. (…) Et je vis une de ses têtes comme blessée à mort, mais cette plaie mortelle fut guérie ; et toute la terre étant dans l’admiration, suivit la Bête. Alors ils adorèrent le dragon, qui avait donné sa puissance à la Bête ; et ils adorèrent la Bête, en disant : Qui est semblable à la Bête, et qui pourra combattre contre elle ? (…) Et le pouvoir lui fut donné d’animer l’image de la Bête, en sorte que cette image parlât, et de faire tuer tous ceux qui n’adoreraient pas l’image de la Bête. Elle fera encore que tous les hommes, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçoivent d’elle un caractère, à la main droite ou au front ; et que personne ne puisse acheter, ni vendre, que celui qui aura le caractère ou le nom de la Bête, ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse : Que celui qui a de l’intelligence compte le nombre de la Bête ; car son nombre est le nombre du nom d’un homme ; et son nombre est 666 ».

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    666, SALOMON ET LA BÊTE-ARGENT

     

    Pour tenter de répondre à cette angoissante question, il convient de se pencher sur l’un des passages de l’Apocalypse : « Que celui qui a de l’intelligence compte le nombre de la Bête, car c’est un nombre d’homme ; et son nombre est 666 ». Que faut-il comprendre de cette fausse énigme ? Pierre Jovanovic pense avoir trouvé la solution : le chiffre 666 ferait référence à un passage très précis de l’Ancien Testament décrivant le système financier et commercial du roi Salomon, qui empochait chaque année 666 talents d’or, soit l’équivalent de 3 tonnes d’or environ ! 666 serait donc le chiffre de la Bête-Argent, qui menace de nous rendre tous esclaves puisque nous sommes tous « marqués » par les banques, riches comme pauvres, jeunes comme vieux. Le Diable en personne se serait glissé dans les rouages du système financier, monétaire moderne… Une des Bêtes de l’Apocalypse est donc identifiée : il s’agirait de la « Bête-Argent ».

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    PRÊT BANCAIRE : VOTRE ÂME EN GARANTIE !

     

    Dans sa revue de presse de juillet 2009, Pierre Jovanovic a déniché cette incroyable information :

    Victor Mirosiichenko, un banquier letton de 34 ans porte-parole de la banque Kontora, accorde des prêts avec pour seule garantie… l’âme de ses clients. Si le remboursement n’est pas honoré, Victor prendra votre âme éternelle ! Le curieux banquier, qui ne se sépare jamais de ses lunettes noires, affirme avoir déjà accordé ce genre de prêts à plus de 200 personnes. Il est tellement sûr de lui qu’il ne demande aucun document en garantie, pas même le nom de famille de l’emprunteur ! « Si les gens refusent de rembourser l’emprunt, qu’est-ce que je peux y faire ? Ils n’auront plus d’âmes et puis c’est tout ! C’est un contrat très sérieux, pas une blague ». Signe des Temps ? Toujours est-il que cette dépêche, qui fait immanquablement penser au contrat du Dr Faust offrant la jeunesse éternelle en échange de votre âme, est pour le moins dérangeante.

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    L’EMERGENCE DE LA BÊTE MASS-MEDIA

     

    En poursuivant son analyse des visions de l’apôtre Jean, Pierre Jovanovic note qu’il est précisé dans le récit que la « Bête-Argent » possède un allié puissant qui possède le pouvoir « d’animer des images et de les faire parler ». Le concept d’images animées est extrêmement troublant dans un texte qui date de presque 2000 ans ! Cette seconde Bête est également appelée « Faux-Prophète », ce qui indique que son message est déformé et destiné à nous induire en erreur, à nous abuser. Il apparaît alors pertinent de se tourner vers la récente naissance de ce puissant média qu’est la télévision. En à peine 50 ans, la petite lucarne s’est imposée comme un média de masse qui a profondément transformé le comportement des gens ainsi que leur rapport au monde. Avec l’arrivée du marketing et de la publicité, elle est devenue le moyen incontournable pour diffuser des messages qui influencent les actes d’achats et les opinions des êtres humains. Et quelle est la valeur fondamentale que la télévision tente de véhiculer via de séduisantes publicités dont la plupart sont à connotations sexuelles ? Il faut consommer pour être heureux, et pour consommer il faut de… l’Argent ! Les Mass-Media seraient donc une autre Bête identifiée, faux-prophète pernicieux, créateur de frustrations, d’envies, de peurs et d’insatisfactions permanentes, à la seule solde de la « Bête-Argent ».

    « Lorsque la télévision finira par se répandre à partir de 1945, elle accélèrera le processus de la grande révolution des mass-médias et surtout de sa petite, mais très puissante sœur financière, la publicité télévisée à laquelle on ne fait absolument pas attention mais dont la puissance destructive est la pire de tous les media (…). On peut souligner à quel point la séduction dont parle l’apôtre colle parfaitement aux campagnes massives de publicité télévisées, inaugurées dans les années 60, et perfectionnées dans les années 70 et 80 (naissance du marketing) qui forcent, influencent, séduisent chaque jour les milliards de gens qui les regardent à travers le monde » l’auteur, qui s’inquiète par ailleurs d’une diffusion de plus en plus massive d’images et d’actes violents dans la petite lucarne. « Ecoutez bien les dernières informations du Faux Prophète… Regardez sa publicité. Il n’a qu’un seul but : rendre envieux, faire consommer, faire peur, et surtout nous montrer que dans ce monde de meurtres et d’accidents permanents, l’idée de l’existence d’un Dieu, ou d’Anges, est totalement ridicule, et que seul l’Argent peut apporter le bonheur ».

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    TELEVISION : LES CHIFFRES QUI FONT PEUR

     

    Support principal de la Bête Mass-Media selon Pierre Jovanovic, la télévision est soupçonnée de corrompre nos esprits par la publicité mais aussi par la violence qu’elle diffuse. Il est vrai qu’au vu des chiffres présentés par certaines enquêtes comme celle de Free-TV pour le continent nord-américain, il y a de quoi s’alarmer :

    200 000 : nombre moyen d’actes violents vu par un enfant entre sa naissance et ses 18 ans.

    8000 : nombre moyen de crimes vu par un enfant jusqu’à son entrée en école primaire.

    20 000 : nombre moyen de publicités vu par un enfant en 1 an.

    2 000 000 : nombre moyen de publicités qu’un adulte de 65 ans a vu au cours de sa vie.

    2 mois par an : temps moyen passé devant sa télévision.

    70% des garderies utilisent la télévision pour occuper les bébés et les enfants en bas-âge.

    Quant à l’enquête menée par des professeurs de l’Université de Laval, qui ont analysé 639 heures de programmes canadiens entre 1993 et 2001, voici ses conclusions : « De 1993 à 2001, les actes de violence physique présentés à la télévision entre 18h et 23h ont augmenté de 378%. Les actes de violences psychologiques ont augmenté eux de 271%. 82,8% des actes de violence proviennent des films ou téléfilms américains ; 39 % des violences sont montrées avant 20h et 87,9% avant 21h ».

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    MALACHIE, LE DERNIER PAPE ET LA BÊTE-VATICAN

     

    Mais Jovanovic soupçonne la présence d’une autre Bête dans l’Apocalypse de Jean. Il s’intéresse alors aux prédictions de Malachie : selon sa célèbre prophétie des papes rédigée en 1139 après avoir eu une vision au beau milieu de la Place Saint Pierre, la Fin des temps aura lieu à la mort du 111ème Pape, le dernier de la liste étant Benoît XVI. Il est précisé qu’à sa mort, un ultime pontife nommé « Pierre II le Romain » occupera le trône et assistera à la « destruction de la ville aux 7 collines », à savoir Rome et en son sein, le Vatican. Or l’Apocalypse de Jean fait également référence de manière sibylline à ce minuscule royaume enclavé (Le Vatican est devenu un royaume lors des accords de Latran en 1929… quelques mois seulement avant la Grande Dépression et l’effondrement de la Bourse à Wall Street !), usant de métaphores complexes pour le désigner.

    Condamné par l’Ange qui montre le futur à Jean, le Vatican est décrit comme « une prostituée, vêtue de pourpre et d’écarlate, parée d’or et de pierres précieuses et de perles, assise sur une Bête à 7 têtes » ! Or les évêques sont vêtus de pourpre et les cardinaux d’écarlate ; leurs croix pectorales sont en or, parées de pierres précieuses… Et plusieurs Papes, notamment Sixte IV, Jules II et Léon X, ont été accusés de prostituer la parole du Christ. « En vérité, l’histoire de l’Eglise est presque aussi sanglante que celle de la France napoléonienne ! Et l’Ange qui accompagnait Jean connaissait l’Histoire, surtout celle du Vatican. Il voyait bien le futur, et il ne porte pas les curés de Rome dans son cœur (…) Quant à la Bête à 7 têtes, elle désigne en fait un système global (Le Vatican est un royaume qui règne sur toute la planète, à la manière d’une multinationale), pas une personne physique » analyse Jovanovic. De profonds bouleversements seraient donc à attendre à la mort de Benoît XVI, avec la destruction programmée de ce que l’auteur appelle la Bête-Vatican.

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    PLUSIEURS TEXTES PROPHETIQUES CONFIRMENT L’HYPOTHESE

     

    Soucieux de garder une cohérence dans sa réflexion, Pierre Jovanovic s’est aussi plongé dans l’analyse d’autres prophéties évoquant de l’Apocalypse pour conforter sa théorie. Après maintes recherches, des similitudes singulières avec le récit de Jean et les prophéties de Malachie sont dénichées dans les présages de la Vierge de la Salette (1846), ainsi que dans les textes du Père Martin sur le 3ème secret de Fatima (1917). La Vierge de la Salette annonce en effet que « Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist », tandis que le père Martin déclare que « Satan occupera le trône de saint Pierre ». Détail qui a son importance : la durée du « mandat » de Benoît XVI sera probablement relativement brève, selon l’intéressé lui-même qui se prédit « un règne court »… Cela laisse envisager qu’un évènement majeur est sur le point de se réaliser à très court terme : la destruction de l’Eglise actuelle et la naissance d’une nouvelle Eglise ?

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    LE VATICAN N’AIME PAS BEAUCOUP LES ANGES !

     

    Chose curieuse relevée par Pierre Jovanovic, le Concile Vatican II (1962-1965) du Pape Jean XXIII a supprimé progressivement toutes les fêtes angéliques, sauf une ! Les fêtes indépendantes de Gabriel (24 mars) et de Raphaël (24 octobre) ont toutes les deux été ramenées au 29 septembre, jour de la Saint Michel. Quant à la fête des Anges Gardiens du 2 octobre, elle a purement et simplement été supprimée, tout comme la prière quotidienne à Saint Michel. Pour l’auteur, un stratagème délibéré pour que les Anges disparaissent progressivement de la pensée des gens et de l’inconscient populaire. Ainsi, s’il était encore très fréquent de prier et de s’adresser à son Ange Gardien au siècle dernier, cette tradition spirituelle semble en voie d’extinction…

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    LA FIN DES TEMPS IMMINENTE ?

     

    A la lumière des différents textes prophétiques qui se recoupent étrangement, l’auteur en est convaincu : une crise terrible se prépare dès la disparition de Benoît XVI : une crise spirituelle et économique sans précédent qui atteindrait son paroxysme en 2012 ou en 2013. Voici son interprétation du texte de Jean, semblant indiquer l’arriver d’une Banqueroute universelle : « Mais tout le Système financier s’écroula, et avec lui les Médias qui avaient fait les prodiges par lesquels ils avaient séduit ceux qui avaient la marque des Banques, et qui avaient adoré les images de la télévision. Et le Système financier comme les Médias furent tous deux jetés vifs dans l’étang ardent de feu et de soufre ».

    Imaginons l’arrêt total des systèmes financiers et médiatiques, associé à la chute du Vatican et de toutes les valeurs religieuses ; il en résulterait une période de chaos et de confusion indescriptible ! Quelles seraient les répercussions d’une telle situation ? Nul ne peut l’imaginer dans sa globalité, mais on peut s’attendre à ce que la société telle que nous la connaissons aujourd’hui disparaisse définitivement. Reste à savoir par quoi elle sera remplacée. « Le texte de Jean est une prophétie qui ne se révèle que dans notre siècle, un violent avertissement envoyé à travers les temps et les âges par des Anges et le Christ, pour nous mettre en garde. La mort de Benoît XVI sera le déclencheur d’une querelle violente au sein du Vatican, en même temps que le système financier s’effondrera progressivement, plongeant le monde dans la confusion. Et cette période de confusion durera peut-être 1260 jours… » conclut l’auteur au terme d’une enquête passionnante, appuyée par une argumentation solide et cohérente.

    Et en étudiant l’Apocalypse, il semble que d’autres terribles manifestations de la Fin des Temps soient à envisager. Des cataclysmes plus dramatiques encore, de véritables bouleversements terrestres, pourraient s’abattre sur le monde dans les années à venir. En effet, le texte de Jean évoque une étoile qui tombe sur la Terre et que l’on nomme « le Destructeur ». Châtiment cosmique ? Toujours est-il qu’un astéroïde inquiète depuis plusieurs années les agences spatiales ; d’après les calculs des astrophysiciens, ce redoutable corps céleste va passer dangereusement près de notre planète le vendredi 13 ( !) avril 2029. Cet astéroïde représente un risque de collision non négligeable avec notre planète. Il a d’ailleurs été baptisé Apophis, qui signifie également… le Destructeur.

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    alien
    Gardez l'oeil ouvert et le bon si possible...

    Article de Guillaume Ducrot, journaliste, pour la revue « Monde Etrange » N°7 (avril 2010).

    « Henri Dalsheim, exégète de Nostradamus2012- Les prédictions de Kaoru Nakamaru »
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  • Commentaires

    1
    Berluche
    Mardi 11 Mars 2014 à 15:36
    Attentats du 11 septembre 2001. + 7 ans = Krack le 29 septembre 2008. + 7 ans = 29 septembre 2015? dernière lune de sang de la Tétrade, Fête des Tabernacles. Oui, danger.
      • Tyron29 Profil de Tyron29
        Mardi 11 Mars 2014 à 19:18
        Les chiffres ont leurs significations dont le 7. Attendons de voir et merci à vous de votre commentaire perspicace...
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