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Par Tyron29 le 19 Août 2020 à 08:28
Des ouvriers de chantier ont découvert une défense de mammouth à Schaerbeek en novembre dernier (2018), rapporte la RTBF.
Cette découverte archéologique majeure a été faite dans un chantier de construction d'un parking souterrain à 15 mètres de profondeur, situé à l'angle des rues d'Aerschot et de Quatrecht, précisent nos confrères.
Le fragment, d'une cinquantaine de centimètres, n'a été authentifié que récemment par le département patrimoine archéologique de la Région bruxelloise. L'ossement date d'au moins 150.000 ans. Des analyses au carbone 14 doivent encore être effectuées pour en préciser l'âge exact.
La dernière découverte du genre en Région bruxelloise remonte à 1972, lors de la construction du prémétro sur l'axe Nord-Sud. Une défense de mammouth et un fragment de rhinocéros laineux avaient alors été retrouvés.
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Par Tyron29 le 19 Novembre 2017 à 12:55
Un jeune garçon de neuf ans se promenait en famille dans le désert près de Las Cruces, au Nouveau-Mexique, lorsqu’il trébucha sur une protubérance rocheuse : il s’agissait en fait du crâne d’un Stégomastodon vieux de 1,2 million d’années.
Imaginez-vous en train de marcher dans le désert, la tête en l’air. Vous trébuchez tout d’un coup sur quelque chose d’inhabituel qui semble sortir du sol. Votre frère arrive et vous certifie que c’est une vache morte il y a des années. Après tout, vous distinguez vous aussi cette corne à moitié enfouie dans le sol. Mais vous avez quand même un doute. C’est l’histoire du petit Jude, neuf ans.
« Je ne savais pas ce que c’était, mais je savais que c’était inhabituel », a-t-il confié au New York Times dans un article paru le 19 juillet. Peu après la découverte, les parents de Jude envoyèrent un e-mail à Peter Houde, professeur de biologie à l’Université d’état du Nouveau-Mexique. L’homme reconnut aussitôt l’animal : il s’agissait non pas d’une corne de vache, mais d’une défense de Stégomastodon fossilisée vieille de 1,2 million d’années.
« J’ai immédiatement reconnu l’importance de ce que c’était », confie le biologiste. Le Stégomastodon est une gigantesque créature qui peuplait tout le continent américain il y a de cela plusieurs dizaines de milliers d’années. Cet ancien parent aujourd’hui éteint de l’éléphant se distinguait par deux énormes défenses qui se courbaient vers le haut et s’élevaient à près de trois mètres de hauteur. La découverte est par ailleurs exceptionnelle puisque les fossiles de Stégomastodon sont aujourd’hui très rares, car très fragiles malgré la taille imposante de l’animal. « Nous sommes vraiment très reconnaissants que la famille Sparks nous ait contactés. Si elle ne l’avait pas fait, le spécimen aurait pu être détruit à jamais », explique le spécialiste au New York Times.
Les chercheurs confirment par ailleurs avoir obtenu l’autorisation de creuser sur le site à condition que l’emplacement exact de l’animal ne soit pas dévoilé selon un communiqué de presse de l’université. La prochaine fois que vous trébucherez sur quelque chose d’inhabituel, faites comme le petit Jude, écoutez votre instinct !
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Par Tyron29 le 2 Décembre 2010 à 12:55
LES DINOSAURES AURAIENT ETE EXTERMINES PAR DES EXTRATERRESTRES
Le professeur Ivan Efremov ne fut pas le premier durant sont vivant a écrire sur ce sujet, mais sa théorie vient de faire jour trente ans après. Paléontologiste et écrivain de renommée mondiale, il n’a pas la réputation de s’adonner à de vaines spéculations ni celle de répandre des canulars pseudo scientifiques. Bien au contraire, il a toujours été le premier à s’insurger violemment contre les assertions tapageuses et gratuites de certains de ses confrères soviétique ou occidentaux qui avaient trop tendance à confondre, pour le meilleur de leur publicité et le pire de l’honnêteté scientifique, conjectures hardies et utopie douteuse.
Et c’est aujourd’hui ce savant d’une rigueur et d’une intégrité farouche qui lance à voilà trente ans dans le monde scientifique cette inconcevable révélation, qui fait surface aujourd’hui : des extraterrestres ont exterminé les dinosaures depuis leurs engins spatiaux. Le professeur Efremov a consacré plus de quarante ans de sa vie de paléontologiste à l’étude du mystère des grands sauriens qui peuplèrent notre planète pendant les temps secondaires. Il a exploré, principalement en Asie soviétique, mais aussi dans le monde entier, des centaines de « cimetières ». Des ossements fossiles sont passés par milliers entre ses mains expertes. Peu à peu, d’année en année, de découverte en révélation, son opinion s’est forgée qu’il peut maintenant exposer au grand jour, preuves à l’appui. L’apparition des dinosaures constitue déjà un problème. Ils se rattachent très difficilement aux formes de vie qui précèdent.
Ils surgissent un peu partout sur la majeure partie émergée de la planète.
Ivan Antonovitch Efremov en 1948 en Mongolie
Sans doute, à l’examen, peut-on leur découvrir certaines affinités avec les oiseaux, en particulier dans la forme du bassin que présentent certains d’entre eux. Mais il n’empêche que cela ne suffit pas à les en faire dériver et que pour le paléontologiste les sauriens apparurent subitement sans évolution qui les fasse procéder logiquement d’une forme de vie antérieure. Quand à leur subite disparition, à la même époque et sur l’ensemble de la planète c’est vraisemblablement l’énigme qui détermina le professeur Efremov à consacrer une existence de chercheur au problème des dinosaures. Dès le début de ses recherches, il fut frappé par le fait que les ossements de sauriens étaient presque toujours groupés en « cimetières ». Ces animaux, comme nos éléphants actuels ou les baleines qui semblent avoir conservé une mystérieuse mémoire ancestrale de la mort, se sont littéralement « réunis » pour mourir.
Leurs ossuaires mis à jour en Asie centrale présentent un incompréhensible mélange d’herbivores et de carnassiers. Théropodes carnivores ou gigantesques sauropodes herbivoires sont indifféremment venus mourir côte à côte. On dirait qu’une ultime trêve dans la lutte pour la survie avait réuni victimes et prédateurs. En 1939, jeune savant frais émoulu de l’Université, Efremov se trouvait en Chine, dans la province du Sikiang où s’ouvrait alors un chantier de fouilles. On mit à jour un cimetière de sauriens d’importance très moyenne mais dont une particularité frappa immédiatement le savant.
Tous les crânes entièrement conservés portaient au niveau occipital une ouverture ronde assez analogue à celle qu’aurait laissée une balle de fusil. Mais à en juger par la régularité de la blessure, il devait s’agir d’un projectile en provenance d’une arme extrêmement efficace, plus puissante en tout cas que les armes connues avant guerre. Le professeur Efremov consigna minutieusement les faits et expédia les ossements dans le musée auquel ils étaient destinés. Il se garda bien de conclure à une quelconque intervention intelligente dans l’extinction des dinosaures. Sa conviction de savant n’était pas faite et d’autre part, les procès qui avaient décimé le monde scientifique russe entre 1930 et 1940 n’incitaient pas à l’audace novatrice ! Il poursuivit cependant ses observations. De toutes les expéditions de fouilles organisées par l’Université, il examina systématiquement tous les fossiles mis à jour et la plupart du temps retrouva le mystérieux orifice occipital. Lorsqu’un crâne fossile solitaire était découvert, il ne portait pratiquement jamais d’orifice dans sa partie inférieure. En revanche, la plus grande majorité des ossements exhumés dans les cimetières de dinosaures portaient la fameuse marque. Parfois, comme si le tir avait été mal ajusté, l’orifice apparaissait sur les omoplates mais il présentait toujours la même configuration, légèrement ovale et de taille très franche. C’est en 1948 que fut effectuée la découverte en nombre la plus importante. On décida alors la construction de barrages dans la région des monts Tian-Chan, en Asie centrale à des fins d’irrigation et de production hydro-électrique.
Des savants, géologues, paléontologistes et anthropologistes se joignirent aux ingénieurs chargés de transformer la région en chantier titanesque. Ils étaient certains d’assister à de fabuleuses exhumations. De fait on mit à jour un immense cimetière de sauriens large de quatre kilomètres et long d’une bonne dizaine. Tout commença avec la découverte d’un monoclonius dinosaurien en parfait état de conservation et dont le crâne portait la petite blessure ovale. Il en fut de même pour tous les autres fossiles entassés par milliers dans la vallée, carnivores et herbivores, pétrifiés pêle-mêle. De ce jour mémorable, la conviction du professeur Efremov était faite. Il ne donna cependant guère de publicité à ses conclusions et ce n’est que dans les années 70 qu’il endossa l’entière paternité de son incroyable théorie qu’il avait eu encore l’occasion de vérifier. Des êtres intelligents ont détruit délibérément les grands sauriens. L’arme utilisée était d’une implacable précision si l’on constate la localisation irrémédiable de l’impact à la base d’une boîte crânienne à cavité cérébrale très exiguë. Quelle était cette arme ? Un super fusil, un laser, ou quelque autre rayon de la mort ?
Quoi qu’il en soit, le tir a été effectué depuis un engin volant comme l’indique sans conteste la forme de la blessure et son emplacement. Pour le savant soviétique, des extraterrestres en exploration sur notre planète exterminèrent systématiquement, et cela sur toute la surface du globe, les sauriens qui gênaient leur éventuelle installation.
Efremov pense qu’ils voulaient protéger de ces monstres certaines cultures ou élevages qu’ils expérimentaient. Par un procédé que nous ne connaissons pas, ils auraient téléguidé les gigantesques reptiles en des points précis et les y auraient exécutés. On a parlé de rayonnements mortels consécutifs à l’explosion d’une étoile voisine de la Terre, ou une météorite qui aurait anéantie, les dinosaures. Mais cela n’explique pas l’attroupement titanesque de ces grands animaux en certains points bien précis non plus que le mystérieux orifice occipital. Un même conditionnement aurait-il été appliqué à d’autres époques à d’autres formes de vie dont les rescapés conserveraient immuablement les traces comme les baleines ou les éléphants ? La jeune génération de savants soviétiques va plus loin que le professeur. Le paléontologue Firsov pense que tout le mystère des dinosaures peut s’expliquer par une intervention extra-planétaire. Des êtres supérieurement évolués ont décidé d’ensemencer la Terre avec une forme de vie ou une autre. Les sauriens furent une de leurs tentatives. Ils « manipulèrent » leur évolution ce qui expliquerait la permanence de certaines caractéristiques apparemment aberrantes. Ils les maintinrent en place durant des millions d’années espérant on ne sait quel résultat. Et, convaincus de leur échec, ils les exterminèrent méthodiquement depuis des engins volants. Nombreux sont bien entendu les textes mythiques qui nous narrent le massacre des dragons ou des serpents géants à l’aide d’armes divines braquées par des conducteurs de chars célestes.
Ils sont plus particulièrement originaires d’Asie ou d’Amérique latine, continents riches en cimetières de sauriens. Dans ces textes, les dieux tirèrent les serpents de la boue, les firent grandir par magie, les nourrirent et leur permirent de régner sur la Terre. Puis les voyant indisciplinés, méchants et destructeurs, ils leur livrèrent bataille et les condamnèrent à dormir, à jamais vaincus sous les montagnes. Ces chroniques sont-elles un souvenir légendaire des temps révolus ou les extraterrestres prenaient-ils notre planète pour champ d’expériences ?
C’est ce que pensent de nombreux savants de l’Est comme Efremov, Zaitsev ou Karantsev.
Ce qu’ils n’ajoutent pas, c’est qu’il n’y a aucune raison pour que les choses aient changé. Il reste à se demander quand et pourquoi nos « expérimentateurs » jugeront que l’expérience a bien assez duré. La théorie d’Ivan Efremov n’a jamais vraiment fait surface. En 1973 juste après sa mort, en accord entre le monde Scientifique et le Vatican, a définitivement enterré sa découverte. Le danger aurait été trop grand pour l’histoire de notre monde. Tous les rapports où écrits sur les véritables travaux ne sont plus, malgré les nombreux ouvrages réalisés par cet homme hors du commun.
Ivan EFREMOV né le 22Avril 1908, mort le 5 Octobre 1972
À Moscou.
Récit et Contes Scientifiques
Auteur Ivan EFREMOV
Editeur en langues Etrangères Russe
1954. Réf. 5079.882
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Par Tyron29 le 10 Août 2010 à 10:46
DES MONSTRES PREHISTORIQUES VIVENT-ILS ENCORE SUR TERRE ?
Est-il possible que des dinosaures, que des reptiles volants, du genre ptérodactyle, survivant à l’ère secondaire, se terrent encore dans des recoins secrets du continent noir ? C’est à cette question que c’est efforcer de répondre Bernard Heuvelmans dans un de ses ouvrages, Les Derniers Dragons d’Afrique, chez Plon, en y mettant toute sa rigueur de zoologiste éprouvé.
Bernard Heuvelmans (1916 - 2001), pour édifier cette œuvre, a pu se baser sur une documentation unique. Toute sa vie, l’auteur s’est spécialisé dans une science dont il est pratiquement le créateur : la cryptozoologie, c’est-à-dire l’étude des animaux cachés, de grande taille, que la science n’a pas encore reconnus officiellement. Ce travailleur acharné, passionné- un seul de ces livres lui a demandé sept années d’enquêtes- a publié, en 1955, deux gros volumes, qui furent traduits dans le monde entier : Sur la piste des bêtes ignorées, qu’il fit suivre de Dans le sillage des monstres marins, du Grand Serpent-de-mer, de l’Homme du Neandertal, suite d’œuvres qui lui valurent des correspondants dans tous les continents, savants, explorateurs, zoologistes, pionniers, qui lui apportèrent leurs témoignages, lui contèrent leurs propres expériences, lui firent le récit de leurs aventures.
Bernard Heuvelmans a dû analyser des centaines de pièces à conviction. Il s’est penché sur des photos, a convoqué des experts, s’est rendu lui-même aux quatre coins de l’Afrique pour se renseigner sur place et pour composer ce livre dans lequel il dénonce les mystifications, les méprises, examine scrupuleusement les représentations indigènes- statues, masques, gravures rupestres- et s’efforce de découvrir ce qui peut être réel sous la floraison des mythes, sous les exagérations des superstitions locales, sous les images du folklore (ou celles suggérées par la terreur) et rendre leurs vraies dimensions aux monstres qui hantent encore les grands lacs, les déserts, les marécages africains. Il écartait le fantastique mais donnait ses preuves contre ceux qui nient catégoriquement l’insolite. Il ne faut pas croire que la faune d’Afrique du Nord soit parfaitement connue, affirme t-il. Dans l’Atlas saharien il existe encore une espèce de serpent de taille considérable. En 1959, des militaires français du 26ème dragon durent employer une mitrailleuse pour tuer un serpent, qui, non seulement approchait vingt mètres de long, mais possédait une crinière ! En 1967, près de Colomb-Béchar, lors de la construction du barrage, des ouvriers aux terrassements coincèrent contre un rocher avec les dents de leur excavatrice, un serpent de sept mètres. La tête se débattit vingt minutes. Les crochets du monstre mesuraient six centimètres de longueur. Ces histoires de serpents gigantesques peuvent aussi se rapporter au python de Seba qui atteint souvent dix mètres et qui est très agressif. Elles peuvent être aussi mises en rapport avec des vipères, dont la tête est ornée d’une crête.
La légende du basilic, mi-serpent, mi-coq, dont le regard peut donner la mort, est-elle liée à celle de ces serpents qui, paraît-il, sous l’emprise de la peur ou de la colère, peuvent émettre des sortes de cris ? Parmi les serpents mystérieux, le commandant Imbard, de Ouargla, a communiqué qu’il existait, dans sa région, un animal appelé Taouerhouet par les Touaregs, reptile très cout, gros comme une outre, poilu, poussant des cris comme un chevreau. En Rhodésie, il existerait un serpent de très grande taille, dont la tête est alourdie d’une crête et de barbillons rouges, comme ceux d’un coq. En Afrique du Sud, dans le Basutoland, les Bushmen affirment que vivaient dans leur contrée, du temps de leurs ancêtres, d’énormes serpents réfugiés dans les grandes eaux et qui tuaient, parfois, jusqu’à trois guerriers d’un simple coup de mâchoire lorsqu’on les traquait. Est-ce l’un d’eux que ce grand serpent du fleuve Orange, qui aurait sa retraite près de ce cours d’eau et qui ferait des ravages parmi le bétail ? Il s’agit d’un animal gigantesque, serpentiforme, avec un long cou et des dents terribles. En 1947, on a parlé d’un autre monstre qui pataugeait au fond d’une ancienne mine de diamants, à Kimberley. Il était couvert d’écailles, mesurait six mètres, avait l’aspect d’un crocodile monstrueux. Quelques années plus tard on parla à nouveau de ce monstre. Il était alors décrit avec un long cou, de longues oreilles, la taille d’un taureau et des ailerons. Pour Bernard Heuvelmans la bête correspondrait à la bête marine qu’il a nommée « le Long cou ». Il aurait pu remonter le cours du fleuve Orange, puis la formation de chutes d’eau l’aurait empêché de regagner la mer.
Dans les marais du haut Nil vivrait une bête fabuleuse, le Lau, qui posséderait, pour les uns, une corne sur le ventre, pour d’autres des nageoires filamenteuses avec lesquelles elle saisirait ses victimes. Peut-être s’agit-il là d’une forme gigantesque de poisson-chat, ces silures, dépassant couramment trois mètres. En Angola sévit un monstre que les indigènes nomment le Lipata et qui pourrait appartenir à une variété géante de crocodile d’une espèce encore inconnue. Pourquoi ne s’agirait-il pas d’un animal préhistorique ? Dans le bassin du Congo auraient encore survécu une ou plusieurs espèces de Machairodus, félins à dents de sabre, appelés Dingonek par les Lumbwa, Ol-Umaina par les Massaïs. Ils sont connus par les pygmées qui les redoutent comme panthères d’eau ou lions d’eau. Sous ces différents vocables, on insiste toujours sur leur caractère aquatique et féroce. Dans deux ou trois régions du continent noir, très éloignées les unes des autres- moyen Zambèze, Gabon, Bénin- vivraient des animaux amphibies qui semblent être de petits dinosaures au corps épais comme celui de l’éléphant. C’est dans l’Ouest africain, là où la forêt équatoriale reste inviolée, que la survie de ces animaux a le plus de chances d’être assurée. Un indigène de l’Oubangui a donné des détails précis sur l’une de ces bêtes échappées de la préhistoire : il posait des nasses sur la rivière Ouaka, lorsqu’il vit un monstre qui mangeait des feuilles d’arbres. La tête était plate, plus large que celle d’un python ; son cou gros comme la cuisse d’un homme et beaucoup plus long que celui d’une girafe. Sa peau était lisse comme celle d’un serpent.
Au milieu du siècle dernier, Livingstone avait recueilli des informations sur la survivance en Afrique d’énormes sauriens préhistoriques dans les grands fleuves et dans les marais tropicaux. Carl Hagenbeck, le roi des zoos, organisa même, au début des années 1900, une expédition pour capturer un animal mi-dragon, mi-éléphant, qui, selon lui, était un brontosaure. Les fouilles paléontologiques ont révélé que des dinosaures avaient bien vécu, autrefois, dans l’Est africain, et des sauriens inconnus ont été signalés aussi bien dans le lac Victoria que dans le grand désert du Kalahari, à la pointe australe de l’Afrique. Au Cameroun, en 1932, deux naturalistes ont entendu un vacarme infernal dans une caverne baignée par le fleuve Mainuy. Ils virent surgir du gouffre une tête colossale. Le célèbre aventurier Jordan a tiré sur un grand animal écailleux, à tête de loutre et défenses de morse, qui nageait dans le fleuve Gori. Sans doute reste-il encore assez d’eaux vierges sur le continent noir pour nourrir les rêves les plus fous des naturalistes. Au-dessus de l’Afrique tropicale, les Kitui Wamba parlent d’une énorme bête volante qui descend la nuit du mont Kenya. Le docteur Laslo Ska, médecin hongrois, a confié à Heuvelmans qu’un ptérosaurien avait été aperçu près du Kilimandjaro : un reptile volant à bec pointu et à longue queue. Lyan Anderson a raconté comment, en 1932, il fut attaqué par « une chose noire, de la taille d’un aigle, dont la mâchoire inférieure possédait des dents acérées ». Au Cameroun britannique les indigènes sont terrorisés par un dragon ailé qu’ils nomment Olitiay. Un authentique ptérodactyle ou une chauve-souris monstrueuse ? Le mystère demeure complet. Des rumeurs relatives à ces dragons sont parvenues de Zambie et de Rhodésie du Sud. Un fonctionnaire de ce dernier pays a raconté que personne ne veut s’aventurer dans un marécage de cette région. Un indigène tenta d’y pénétrer ; il revint avec une profonde blessure à la poitrine. Il avait été attaqué par un énorme oiseau à long bec. On lui présenta un livre où étaient dessinés des animaux préhistoriques et, lorsqu’il vit la gravure qui figurait un ptérodactyle, il s’enfuit en hurlant : il avait reconnu son agresseur… En 1957, plusieurs personnes affirmèrent avoir vu des ptérodactyles près des chutes du lac Victoria. C’était lors de la construction d’un barrage pour lequel on avait déboisé et inondé la contrée. Il était normal de voir surgir des bêtes insolites qui cherchaient refuge ailleurs. D’une manière générale, tous ces dragons ailés, qui sèment la terreur parmi les Noirs, sont associés à l’eau, à la forêt.
« Une tâche urgente s’impose, conclut Heuvelmans, celle de découvrir ces animaux avant qu’ils n’aient disparu. S’il s’agit de ptérodactyles ou de dragons ailés, ayant miraculeusement survécu, ils sont aujourd’hui au bord de l’extinction, et, s’il s’agit d’une forme animale plus moderne, très rare, se cachant dans des régions isolées, il faut protéger et sauver ces survivants des mondes disparus. »
Tyron
Source : recherches et documentations personnelles
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Par Tyron29 le 10 Mai 2008 à 10:39
LAKE CITY, Minnesota (WCCO) - Il y a une créature dans le Minnesota, qui est tellement difficile à voir que 50000 $ de récompense est offert pour preuve qu'elle existe.
Depuis les années 1800, les résidents autour du lac dans le lac Pepin City, racontent qu'ils ont repéré un monstre de mer. Ils l'appellent, Pepie. «C'était très étrange», a déclaré Larry Nielson, qui dit qu'il a vu la mystérieuse créature. " "Nous avons regardé pour un certain temps et nous avons vu pendant environ 15 minutes et ne pouvait pas savoir ce que cela pourrait être." Steve Raymond partage la même histoire. "Maintenant, je suis la troisième personne qui l'a signalé. Je me souviens distinctement de trois protubérances, avec une bosse ressemblant à une tête», se souvient Raymond de son expérience sur le lac Pepin. La première observation de la créature date d'avril 1871. Un artiste a essayé de montrer ce que le monstre pouvait ressembler, il avait un regard hypnotique avec des yeux rouges. "Donc, on ne sait jamais ce que vous allez voir ici», a déclaré Nielson.
Les plaisanciers ont raconté des histoires d'être attaqué alors que sur l'eau, première audition plusieurs frappe fort sur la coque, suivie par plusieurs violentes-et-vient fluctuations du bateau. Nielson veut que les gens essayent de voir par eux-mêmes parce que ce mystérieux monstre a échappé aux appareils photos depuis plus d'un siècle. Il offre 50000 $ à quiconque apportera une preuve photographique. "L'idée derrière la récompense, c'est de faire en sorte que vous filmiez la créature avec une caméra. Vous pouvez capturez Pepie, mais la pire chose qui va se passer, c'est que vous allez obtenir des photos de quelques-uns des plus beaux paysages au monde», dit Nielson. Cette récompense est également un outil de marketing pour Lake City. Le bureau de tourisme local espère que la chance sera au rendez-vous afin d'obtenir de l'argent pour la région et que les touristes affluent. Nielson et Raymond n'avons pas besoin de plus la preuve de la part du public, car ils sont déjà d'accord sur ce qu'ils ont vu dans le lac.
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