• CES LIEUX MAGIQUES QUI INTRIGUENT TANT LES SAVANTS

    CES LIEUX MAGIQUES QUI INTRIGUENT TANT LES SAVANTS...

     

    Lieux magiques, lieux maléficiés, vestiges énigmatiques, traces de civilisations inconnues, mystères minéraux, végétaux ou animaux, le monde regorge d’endroits et de faits qui nous étonnent et nous font poser des questions restant désespérément sans réponse. 

    De la forêt de Brocéliande à l’antre de la Sybille de Cumes, du loch Ness d’Ecosse aux plateaux himalayens, royaume du yéti, ces lieux se dénombrent par milliers. Vraiment, nous ne connaissons pas tout de notre vieux monde. On a beaucoup parlé, depuis les travaux de Charles Berlitz, de ce fameux triangle des Bermudes dans lequel sont survenues tant de  disparitions mystérieuses d’avions et de navires. La célébrité de cet intriguant point noir en a éclipsé d’autres qui ne lui cèdent en rien. Que se passe t-il dans « l’œil noir des Açores », une zone de l’Atlantique située près de cet archipel, à la hauteur du 35e parallèle ? Et dans « l’ovale du Diable » s’étendant dans le Pacifique de l’île de Guam jusqu’aux Philippines ? Et dans le « triangle des Grands Lacs » entre les lacs Supérieurs, Michigan, Erie et Ontario ?

    Dans chacun de ces endroits, on constate autant de disparitions que dans le triangle des Bermudes. S’agit-il d’un phénomène physique, magnétique, d’un « trou » dans l’espace-temps ou de quelque chose de plus mystérieux et de plus inquiétant encore ? Dans l’état actuel des recherches, il appartient à chacun de choisir dans les hypothèses avancées. Perdues dans la brousse rhodésienne s’élèvent les ruines de l’étrange cité de Zimbabwe. C’est l’un des sites archéologiques sur lequel on sait le moins de choses et cela pour des raisons politiques. Le gouvernement de Salisbury, représentant la population blanche, très minoritaire en Rhodésie, empêche en effet toute recherche approfondie sur une éventuelle civilisation noire. Que sont ces ruines cyclopéennes ? La capitale d’un empire disparu, les mines du roi Salomon, une cité magique, l’équivalent africain des temples d’Angkor ? Nul n’en sait rien, mais chacune de ses hypothèses a ses partisans. Ce qui est remarquable, et constitue une énigme de plus, c’est la technique architecturale de Zimbabwe, en particulier les immenses murailles de pierre. Cela dans une région où l’on ne retrouve aucune autre construction en pierre. Tous les observateurs ont été frappés par les similitudes existant entre ce site et certaines forteresses mégalithiques édifiées en Irlande, face à l’Atlantique.

    Ces constructions mégalithiques existent d’ailleurs à travers le monde mais c’est en Europe occidentale qu’on en trouve le plus. 50.000 y ont été  dénombrées, qu’il s’agisse de simples dolmens, de menhirs, de cromlechs, d’alignements comme ceux de Carnac ou de Kermario, qui sont parmi les plus célèbres, ou de constructions plus complexes. Leur grand nombre dans l’ancienne aire de peuplement celte a fait croire pendant longtemps qu’on se trouvait en présence de vestiges de cette civilisation. Il s’est désormais avéré que tous ces monuments sont bien antérieurs aux Celtes, mais on ne sait rien de précis sur leurs bâtisseurs. Stonehenge a déjà fait couler beaucoup d’encre, à juste titre. Ce sanctuaire situé entre la Cornouaille anglaise et le pays de Galles, près de Salisbury, commence à peine à être décodé. Ce n’est qu’en 1901 que l’astronome britannique Norman Lockyer s’est aperçu que l’orientation des pierres correspondait aux grandes directions astronomiques. Il s’agissait donc bien d’un temple solaire faisant également office d’observatoire. En 1963, un autre astronome, Gerald Hawkins, traitant à l’aide d’un ordinateur les écarts angulaires des alignements, mit en évidence le fait que chaque pierre avait une signification astronomique bien précise. Les prêtres de Stonehenge étaient par exemple capables de prévoir toutes les éclipses. Le professeur Hoyle n’hésite pas à comparer Stonehenge à un rapporteur céleste, concluant à l’existence d’un « Einstein préhistorique ». Certes, mais qui était-il ?

    Aux Etats-Unis, près de North Salem, dans l’Etat du New Hampshire, se dresse une colline boisée au sommet de laquelle on a trouvé des ruines qui n’ont pas autrement attiré l’attention des savants. Il n’y avait que les Indiens à s’intéresser à ce lieu qu’ils croyaient chargé de maléfices et qu’ils avaient baptisé la « colline du mystère ». Cependant, un chercheur du nom de Holzer entreprit une étude du site voici quelques dizaines d’années et conclut qu’on était en présence d’un mégalithe analogue à ceux d’Europe. Ses travaux furent repris par la suite par le professeur Robert E. Stone, de l’université Harvard. Aujourd’hui, il n’y a plus aucun doute, la « colline du mystère » est bien un mégalithe astronomique de même nature que Stonehenge. En 1957, un mécène se rendit acquéreur du site menacé par les promoteurs. Grâce à lui, les recherches peuvent continuer et nous apporterons à coup sûr des surprises. Mais d’ores et déjà, la « colline du mystère » présente un avantage sur Stonehenge. En effet, on y a trouvé, gravées sur des pierres, quelques inscriptions en alphabet phénicien. En outre, un fragment organique a pu être exhumé lors d’une fouille et soumis à la datation au carbone 14. Il est donc possible d’affirmer que ce sont des Phéniciens qui ont édifié ce mégalithe il y a quatre mille ans. Si l’on rapproche ce fait de quelques autres découvertes, on peut se demander si, à brève échéance, l’archéologie ne va pas être bouleversée de fond en comble et s’il ne va pas falloir modifier notre conception de l’Antiquité.

    Des signes gravés  à l’époque préhistorique sur un os de renne trouvé en France, dans la grotte du Mas d’Azil, présentent une étrange ressemblance avec l’écriture phénicienne. Il en va de même des tablettes de Glozel. Cela prouve qu’il existait en Europe une civilisation inconnue possédant une écriture, plusieurs milliers d’années avant que les Egyptiens inventent les hiéroglyphes. Et cette écriture présentait des similitudes étonnantes avec le phénicien, l’ancêtre des alphabets. Curieux Phéniciens, d’ailleurs, dont on ne sait pas grand-chose, malgré l’abondance des vestiges mis à jour depuis quelques siècles. Parce qu’on les a découverts le long de la Méditerranée, sur la côte de Syrie, les archéologues affirment qu’ils sont originaires de cette contrée. Mais c’est une affirmation gratuite. On sait qu’ils étaient d’excellents navigateurs, s’aventurant fort loin sur les mers, et qu’ils établissaient des colonies n’ayant que des liens très lâches avec leurs métropoles. Toutefois, il est fort possible que les histoires aient pris le problème à l’envers et que ce soient Tyr, Sidon et les autres cités de la côte syrienne qui aient été les colonies et non les vraies métropoles. Où auraient été situées ces dernières ? Elles n’ont pas encore été découvertes. Ou tout au moins avec certitude, car il existe de nombreux vestiges d’origine inconnue qui pourraient correspondre. Et n’hésitons pas à poser la grande question : les Phéniciens n’auraient-ils pas été les héritiers des civilisations peuplant des continents disparus ? Mu, l’Atlantide, Gondwana, autant de noms qui enflamment l’imagination. Autant de noms, aussi, qui font hausser les épaules aux savants, ou à certains d’entre eux, ceux qui croient que tout a été découvert et que le reste est un songe creux.

    Dans son volumineux ouvrage La Doctrine secrète, publié en 1888, Helena Blavatsky, la fondatrice de la théosophie, fait état d’un continent englouti dont elle avait eu la révélation en compulsant de vieux grimoires dans un temple indien. L’un de ses disciples, James Churchward, était officier de l’armée des Indes quand il découvrit en Birmanie, dans un vieux sanctuaire, des tablettes recouvertes d’inscriptions mystérieuses qu’il réussit à recopier et à déchiffrer. A son grand étonnement, Churchward se rendit compte qu’il s’agissait de messages rédigés par les survivants du continent évoqué par Helena Blavatsky, nommé sur les tablettes : continent Mu. En 1931, il publia le résultat de ses recherches dans deux livres étonnants : Mu, le continent perdu et l’Univers secret de Mu (traduit en France dans la collection « l’Aventure mystérieuse », éditions « J’ai Lu »). Selon lui, Mu s’étendait en plein océan Pacifique, dans une sorte de losange délimité par l’île de Pâques, Hawaï, les îles Marianne et les îles Fidji. Ce continent aurait été englouti dans un gigantesque séisme survenu douze mille ans avant notre ère. Un grand nombre d’affirmation de James Churchward sont avancées sans preuve. L’existence de Mu n’est pas encore établie scientifiquement, mais il existe effectivement dans le Pacifique des vestiges étranges. Qu’en est-il aujourd’hui de l’Atlantide ? Ce continent mythique est connu depuis que Platon en a parlé dans son Timée. Elle était située « au-delà des colonnes d’Hercule », c’est-à-dire dans l’Atlantique, au-delà du détroit de Gibraltar, et sa superficie égalait, selon Platon, « l’Asie et le Libye », soit, en fonction des connaissances géographiques de l’époque, l’Asie mineure, la Perse et l’Afrique du Sahara à la Méditerranée réunies. Il s’est maintenant avéré qu’il existe des terres englouties en un grand nombre d’endroits. S’agit-il de parties affaissées des continents telles que nous les connaissons, d’îles disparues ou de fragments d’un seul et même continent ? Et ce continent est-il bien l’Atlantide ? Encore une fois des questions sans réponse.

    La théorie de la dérive des continents fut énoncée pour la première fois par le géophysicien allemand Alfred Wegener, son idée de départ était les formes complémentaires de la côte occidentale de l’Afrique et de la côte orientale de l’Amérique du Sud. Refusant d’y voir une simple coïncidence, il pensa qu’à l’origine ces deux continents étaient soudés. Par la suite, il compléta sa théorie en postulant qu’au cours de sa formation, durant la période dite « jurassique », la Terre n’avait qu’un seul continent formé au nord par la Laurasie (Amérique du Nord, Europe et Asie) et au sud par Gondwana (Amérique du Sud, Afrique, Inde et Antarctique). De nos jours, la théorie de Wegener n’est plus admise sous sa forme originelle, mais le concept de dérive des continents a acquis droit de cité et de nombreux géophysiciens croient à l’existence de Gondwana. 

     

    Source- documents et recherches personnelles

    La taverne de l'étrange- 18 décembre 2009

     

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  • Commentaires

    1
    origines
    Vendredi 18 Décembre 2009 à 23:54
    merci pour toutes ces informations, pour moi je pense que l'histoire est un pluriel avec plusieurs rebondissement et je suis sur quel est véritablement connu de certain
    2
    YVANNA007
    Lundi 28 Décembre 2009 à 10:54
    GRANDIOSE BRAVO
    3
    fere champenoise
    Lundi 28 Décembre 2009 à 22:50
    lieu mithyque de la marne mais ay en champagne encore plus
    tu perd ton temps a me banir et me bloquer je serai toujours la comme un anenévrisme
    4
    nonde
    Mercredi 27 Avril 2011 à 14:03
    y a t-il une histoire ou des histoires étranges de disparition des gens dans les années 2000 ou 1900?
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