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Le règne des géants- partie 2
L’apparition de l’homme sur terre pose toujours un certain nombre de questions : quand et sous quelles formes ? Dater paraît difficile. Mais les hypothèses abondent sur la morphologie de nos ancêtres. Le visionnaire américain Edgar Cayce estime que l’homme s’est manifesté par « cinq affirmations » : les cinq sens, les cinq raisons, les cinq sphères, les cinq développements, les cinq nations.
Cayce est incapable d’expliquer clairement la pensée cachée sous cette formulation obscure. Par contre, lorsqu’on lui demande comment surgirent les cinq races, il répond : « Elle apparurent toutes en même temps. » Les dires d’Edgar Cayce sont confirmés, trente ans plus tard, par le professeur d’anthropologie du Museum de l’université de Pennsylvanie, Carleton S. Coon : « L’humanité a été divisée en cinq races ou sous-espèces, il y a un demi-million d’années et peut-être davantage ; et cinq races se sont développées indépendamment les unes des autres. L’homo erectus est devenu l’homo sapiens non seulement une fois, mais cinq, à mesure que chacune des sous-espèces franchissait le seuil critique de l’intelligence. Il a pu s’écouler jusqu’à 200.000 ans entre le temps où la première des sous-espèces est devenue intelligente et celui où la cinquième y est parvenue. »
Pourtant certains collègues du professeur Coon, la première race vivant sur terre a été une race de géants. Pour étayer leur thèse, ces chercheurs font référence à la découverte de squelettes humains démesurés. Pourquoi une telle taille ? Selon certains scientifiques, plusieurs satellites en orbite autour de la terre, il y a environ 300.000 ans, s’approchèrent de notre planète et provoquèrent une attraction intense amoindrissant ainsi la pesanteur. Cela entraîna un gigantisme de l’homme, ce qui expliquerait la présence à Gargayan, dans la province nord des Philippines, d’un squelette mesurant cinq mètres dix-huit.
De même, dans le sud de la Chine, il a été découvert des ossements d’humains grands de trois mètres. Du fait de la pesanteur relativement faible, les objets étaient beaucoup moins lourds, le rythme sanguin facilité, la fatigue moindre pour tout l’organisme et l’homme jouissait alors d’une longévité extraordinaire. Il avait le cerveau plus développé et des facultés qui lui firent acquérir un savoir différent du nôtre. L’édification de cités géantes et le transport de monolithes pesant des milliers de tonnes- à Machu Picchu, à Baalbek, à Gizeh, etc…- trouvent une explication, à la fois dans la force titanesque des hommes et dans l’utilisation de leurs connaissances scientifiques. Les statues de sept mètres et davantage, que l’on trouve en certains points du globe : Pérou, île de Pâques, archipel des Marquises, Bâmiyân, etc… pourraient donc être des œuvres grandeur nature, ou du moins l’hommage à peine exagéré de populations amoindries à leurs ancêtres géants.
Pour exemple, un atelier d’outils préhistoriques vieux de 300.000 ans, a été découvert à Agadir (Maroc). Parmi ces objets, il y avait des bifaces qu’on employait à la main. Or ces bifaces pesant huit kilos exige un écartement des doigts que seul peut posséder un géant de quatre mètres ! Il n’est donc pas téméraire de conclure, en accord avec la Bible et les mythologies, qu’une race de géants a bien foulé notre terre et que, selon l’estimation des techniciens, leur existence remonte à 300.000 ans. Tout porte à croire que c’est une lune antérieure à la nôtre qui a provoqué l’apparition de ces titans.
Soulagés de leur poids par l’attraction du satellite, ils se sont développés selon les normes de ce qu’ils pouvaient supporter. Il y eut ensuite un cataclysme effroyable quand la Lune trop proche s’écrasa sur la Terre, ensevelissant sans doute un continent, bousculant les pôles et toute la géographie terrestre… Les géants qui survécurent, affaiblis, dégénérés, ne pouvant plus porter leur poids écrasant de chair, disparurent par sélection naturelle, faisant place à des hommes plus petits, mieux adaptés aux conditions d’existence sur une terre sans Lune ou dotée d’un luminaire n’exerçant plus qu’une attraction atténuée : la Lune actuelle.
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