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Par Tyron29 le 2 Avril 2016 à 17:53
Cette news insolite, avec cette invention du génie TESLA dont le brevet fut confisqué par les Services Secrets étasuniens à l’époque. 120 ans après on en découvre toujours plus sur ce génie total qui a marqué l’histoire contemporaine. C’est surtout une news qui permettrait d’expliquer beaucoup de choses, notamment quant aux blacks programs US . Z .
Nikola Tesla – l’homme qui, comme beaucoup le croient, fut presque enterré dans les affres de l’histoire , jusqu’à une récente flambée d’intérêt au cours des dernières décennies. Les inventions de Nikola Tesla et ses percées technologiques sont tellement incroyablement avancées, que beaucoup sont encore déconcertés par ce qu’il a inventé il y a plus de 120 années, qui viennent jusqu’a maintenant au service de la technologie publique.
Les rumeurs qui entourent l’homme sont presque aussi fascinantes que les faits – des histoires de rencontres extraterrestres et autres capacités psychiques étranges entourent la fable et le mythe qui composent l’image contemporaine que beaucoup ont de Nikola Tesla … et, parfois, c’ est- pour une bonne raison.
Récemment, Rise Earth a rapporté un brevet très, très intéressant que Tesla avait présenté, avec sa conception picturale – intitulé «Premiere soucoupe volante du monde » – et l’ illustration ressemble à un OVNI que vous verriez dans un film de Steven Spielberg – la partie la plus étrange ? Le brevet a été déposée il y a plus de 100 ans.
Nikola Tesla est considéré comme l’un des hommes les plus innovants et mystérieux qui ait jamais vécu.
Si Tesla n’avait pas fait des inventions et des recherches comme il le fit fait en son temps, notre technologie aujourd’hui serait bien moins avancée. Mais reste-t-il quelque chose de plus de Tesla ?
A-t-il en fait eu des contacts avec les aliens comme il l’a proclamé publiquement ? Il est l’un des inventeurs les plus étonnants que notre civilisation ait jamais connu et ses connaissances et idées allaient bien au-delà de ce qui a été connu à l’époque, Tesla était un génie, et ses inventions et idées n’ avait pas de limites.
Il y a plus de cent ans, au cours de la première décennie du XXe siècle, Tesla a déposé une demande de breveter pour un avion particulier, qu’il a appelé « la premier soucoupe volante au monde. »
Les méthodes utilisées dans la conception de la soucoupe volante correspondaient aux descriptions de ceux qui ont affirmés avoir vu un OVNI de l’l’intérieur: avec un condensateur discoïde d’une taille suffisante pour fournir une poussée suffisante pour voler, tandis que d’autres petits condensateurs destgnés à contrôler la direction de la soucoupe volante, à laquelle il a ajouté un système de stabilisation gyroscopique et un contrôle électrique « de pilotage ».
Fondamentalement, c’ est un avion extrêmement bien conçu, que nous pourrions réussir à construire aujourd’hui. Ou l’avons-nous déjà construit ? Qu’est-il arrivé à cette invention ? Pourquoi ne pas voler dans l’espace avec cette incroyable invention de Tesla?
Le dessin original
Alors que le brevet avait été accordé, l’OVNI ou plutôt appelé OVI car il avait été identifié par l’imagination insatiable de Tesla, avait un inconvénient: puisque l’avion n’avait pas sa propre source d’énergie, il avait besoin d’être alimenté par des tours de la transmission sans fil, des sources « d’énergie libre » de Tesla.
Le manque de financement a conduit à l’abandon du développement des tours, donc, finalement le projet a également sombré dans l’oubli, et l’OVNI ou plutôt l’OVI de Tesla n’a jamais été développé. Mais attendez… jamais ?
En fait, n’en soyez pas si sûr, car les Services Secrets américains ont pris tous les brevets appartenant à Tesla après sa mort «pour des raisons de sécurité nationale. »
Maintenant, si les idées de Tesla étaient si folles, comme certains les avaient classées, pourquoi le United States Secret Service a saisi les brevets pour des raisons de sécurité nationale? Hmmm ça laisse réfléchir à ce sujet pendant une minute.
Les idées du grand Nikola Tesla étaient incroyables et, mieux encore, en avance sur leur temps, beaucoup de ses inventions visaient à aider à la paix du monde grâce à l’accès à l’énergie libre, mais les gouvernements et les financiers de l’époque n’ont pas suivi les progrès de l’esprit de Tesla.
Des années plus tard, ses modèles révolutionnaires et ses projets technologiques ont été utilisés par les nazis (pas de la façon dont il l’avait imaginé), et maintenant nombreux de ses projets sont détenus par les services secrets, loin des yeux du public.
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Par Tyron29 le 15 Octobre 2015 à 11:30Un habitant de la ville de Foshan (située dans la province centrale de Guangdong, en Chine) a filmé quelque chose de vraiment mystérieux. En effet, sur les images qu'il a prises le 7 octobre 2015, on peut voir une immense ville flotter dans le ciel !Cette apparition extraordinaire a été vue par des centaines de personnes. Les images nous montrent une succession de gratte-ciels qui semblent planer dans l'épaisse couverture nuageuse qui assombrissait la ville au moment des faits. Au bout de quelques minutes, le phénomène a complètement et soudainement disparu.Cette affaire a été de nombreuses fois débattue sur les forums. Certains affirment qu'il s'agit là d'un mirage, un phénomène optique dû à la déviation des faisceaux lumineux par des superpositions de couches d'air de températures différente. D'autres évoquent la possibilité d'un Fata Morgana, un phénomène optique qui résulte d'une combinaison de mirages.Malgré ces explications plausibles, certains pensent que cette apparition serait l'une des conséquences du projet Blue Beam. Selon les théoriciens du complot, ce projet viserait à instaurer un nouvel ordre mondial, notamment par l'utilisation d'hologramme pour tromper et émerveiller les populations.Certains habitants de Foshan n'ont pas hésité à supposer qu'il pouvait s'agir d'une ville provenant d'un univers parallèle …Plus d'infos sur le projet Blue Beam :
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Par Tyron29 le 14 Février 2014 à 08:48
LE PROJET INAVOUABLE DE LA
CIA : le projet MK-ULTRA
Il est évident que les grandes agences de renseignements ne reculent devant rien pour protéger les intérêts de la nation. De terribles expériences ont été menées par la CIA entre 1953 et 1988 clandestinement sur différentes populations du monde. Le but : manipuler mentalement l’homme pour en faire un outil multi-fonctions : arme, objet sexuel, esclave…MK ULTRA OU LES DERAPAGES DE L’EXPERIMENTATION HUMAINE
Pour mieux comprendre le lancement du projet MK-Ultra, il faut se replonger dans le contexte de la guerre froide. Le projet a débuté en avril 1953 à l’initiative d’Allen Dulles, directeur de la CIA. Le but initial du projet étaient de développer et de tester sur l’homme un maximum de techniques de contrôle et de manipulation mentale, pour déjouer les présumés plans de l’ennemi de l’époque, le bloc soviétique. Le projet est dirigé par le Dr Sidney Gottlieb, psychiatre militaire, chimiste et expert en poisons. Surnommé le « Sorcier Noir », il fut très actif et mis en place de nombreux tests ainsi que des expériences à peine envisageables : administration de LSD et de psychotropes, recherches génétiques pour créer des armes anti-ethniques spécifiques. Il finança également des recherches visant à détruire le psychisme comme les lavages de cerveau et des tests sur des cobayes humains.
Le projet se multiplie et se divise en près de 150 sous-projets, chacun ayant un objectif particulier à atteindre dans le cadre de la manipulation mentale. Dans la plupart des expériences, l’utilisation de drogues (souvent du LSD) étaient courantes afin d’analyser ses effets possibles sur l’être humain en fonction des quantités et des méthodes utilisées en parallèle. Des milliers de personnes ont été victimes : civils non informés, militaires, agents du gouvernement, classes sociales défavorisées, groupes ethniques, malades psychiatriques etc. Au cœur de ces expérimentations, l’homme était un cobaye que l’on pouvait transformer selon les programmes en tueur, en esclave ou en fou avec des pratiques sadiques de tortures chimiques, psychologiques et physiques, de chirurgie et de déshumanisation totale de l’individu. Certains sous-projets visaient des classes spécifiques de la population avec l’aide de différents administrations, universités, hôpitaux ou encore centres de vacances pour jeunes. Quatre sous-projets ont ainsi utilisés des enfants comme cobayes. Le MK-ULTRA semble avoir connu des ramifications dans de nombreux pays comme avec l’aide des agences de renseignements et de sécurités locales comme au Canada ou en Suède.
REVELATIONS PAR LES MEDIASEn 1974, le New York Times met la CIA dans une position délicate en dénonçant ses activités illégales aux Etats-Unis durant les années 60. Le gouvernement réagit en ordonnant la formation de deux commissions d’enquête : la commission Church dépendait du Congrès Américain et la commission Rockefeller de la Maison Blanche. Elles ont étudié les activités de la CIA, du FBI et des agences de renseignements militaires. Un an plus tard, les commissions révèlent enfin au public la réalité des expériences menées conjointement par la CIA et le département de la Défense américain. Les Américains découvrent que des expériences ont été menées sur des humains, la plupart du temps sans les en informer pour tester des programmes de manipulation mentale par des techniques barbares avec l’injection ou la prise forcée de psychotropes à hautes doses, de tortures psychologiques, chimiques, électriques etc. Le nombre de victimes reste inconnu. Les Etats-Unis ont connu plusieurs vagues de témoignages de victimes (les dernières ont eu lieu sous les présidences de Bill Clinton et de Georges W. Bush) qui ont obligé la maison blanche à ouvrir des enquêtes et à présenter des excuses publiques aux victimes. Bill Clinton avait demandé plus de transparence à l’agence en rendant publique certaines informations. La CIA a réussi à limiter les dégâts, la plupart des documents prouvant ses différentes activités illégales ayant été détruits en 1971 pour cause officielle de : « menace à la sécurité de l’Etat ».
TEMOIGNAGES DE VICTIMESL’une des grandes interrogations de la période était de savoir si on pouvait fabriquer des tueurs ou pas. Pour répondre à la question, il a fallu mettre en place des expériences pour déterminer s’il était possible de contrôler l’homme à distance. Après quelques tests, les premiers résultats ont rapidement montré que les jeunes étaient plus réceptifs et plus facilement manipulables. C’est le cas de l’une des victimes présentée comme « Supposée candidate de Mandchourie » qui témoigne à visage caché dans une vidéo. Elle explique :
« Tout a commencé quand j’étais une enfant. Mon père était un assassin et s’intéressait au contrôle de l’esprit par la torture, l’hypnose et d’autres moyens. Il m’a utilisée comme cobaye pour montrer à ses collègues de la CIA ce qu’il pouvait accomplir sur un enfant. Mon apprentissage a commencé dès l’âge de 4 ans. Ces activités ont commencé au début des années 70 et ont pris fin vers 1990. Il y a eu plus de 76 morts. Je frappais à la porte des maisons prétextant des problèmes de voiture, ou encore en disant que j’étais perdue. Je demandais à trouver une maison en particulier. C’était aussi simple que cela. J’utilisais un fil de fer ou une arme à feu. Un jour, je me suis mis dans la peau d’une prostituée. Pendant que mon client était au lit, j’ai pris le foulard que je portais et je l’ai trempé dans l’eau de la cuvette des toilettes. Cela a réactivé les éléments chimiques qu’il contenait et je l’ai posé sur le visage de l’homme qui en est mort. J’ai subi l’entrainement appelé NAOMI. Ils m’ont montré comment tremper une aiguille dans de la gelée de pétrole qui contient un agent chimique. Je devais ensuite piquer quelqu’un avec cette aiguille. Les armes à feu me sont aussi très familières même si je n’ai jamais eu l’autorisation d’en posséder auparavant. J’en ai acheté une et je me suis aperçu que je tire très bien même sans entraînement. »
Elle poursuit avec un élément intéressant qui a été retrouvé sur le lieu de plusieurs homicides, dont celui de John Lennon :
« Un jour, je me suis rendue dans une bibliothèque et j’ai vu ‘’l’Attrape-cœur’’. Je suis entrée en transe immédiatement. Je ne pouvais plus quitter le livre des yeux. Je l’ai parcouru et je me suis dit que c’était le livre idéal pour quelqu’un qui avait des difficultés à entrer en contact au niveau émotif avec les gens et que cette personne se laisserait facilement entraîné à commettre des actes criminels. »
Dans les années 50 et 60, l’armée et la CIA ont financé des recherches sur le placement d’implants dans le cerveau humain. Cette technique permet le contrôle du comportement à distance par effet électrique. Robert Naeland affirme avoir été un cobaye. Il a vu son comportement changer en le rendant taciturne et associal. « La première fois que j’ai été en contact avec cette nouvelle technologie des implants, c’est lorsque j’ai été hospitalisé à Stockholm. On m’a implanté un transmetteur dans la narine droite. L’implant radio était à peu près de la taille d’un petit projectile. D’après les radiographies que j’ai pu passer, les spécialistes ont confirmé la présence de corps étrangers. »
Après cette hospitalisation, Robert Naeland devient un petit criminel. Souhaitant retrouver une vie normale, il se fait opérer en Suède pour retirer ses implants et demande à pouvoir les conserver. « Lorsque je suis revenu à l’hôpital 10 jours plus tard, on m’a annoncé que l’on av ait perdu les transmetteurs que l’on m’avait retiré. Je pense que la CIA et la SEP (son équivalent suédois) devaient être impliqués. »
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QUAND LA CIA FAIT DES TESTS EN FRANCE…C’est l’hypothèse la plus grave avancée pour expliquer une étrange affaire survenue il y a plus de 60 ans, à Pont-Saint-Esprit, dans le département du Gard. L’affaire se déroule au mois d’août 1951. Le village ne se réveille pas comme d’habitude en ce 17 août. Ces habitants semblent touchés par la folie dans une sorte d’hallucination collective. Pendant plusieurs jours, certains affirment qu’ils sont morts, d’autres se croient attaqués par des tigres ou d’autres animaux sauvages et plusieurs imaginent avoir des serpents dans l’estomac. Un garçon de 11 ans tente d’étrangler sa mère, un homme se défenestre en hurlant « je suis un avion », il se fracture les deux jambes en s’écrasant au sol ce qui ne l’empêche pas de se relever et de courir sur plusieurs dizaines de mètres.
A l’époque, l’ergot de seigle est désigné comme coupable et tous les regards se tournent vers le boulanger, la farine et le meunier. L’ergotisme provoque des hallucinations passagères et la perte de sensibilité des extrémités (doigts et orteils). Les habitants présentent des symptômes différents à savoir des vomissements, des douleurs gastriques et musculaires ainsi que des maux de tête en plus d’hallucinations persistantes. L’empoisonnement était-il dû au « pain maudit » ? De nombreuses thèses ont circulé pour tenter d’expliquer le phénomène. En 1982, un toxicologue évoquait la possibilité de présence de mycotoxines dans les silos à grains. Celles-ci entraînent de nombreux effets : allergie, toxicité aigue, dommages aux reins… Si la piste d’un projet secret de la CIA avait été évoquée à l’époque des faits, elle a été étayée fin 2009 par le journaliste américain Hank Albaralli. En enquêtant sur le suicide suspect d’un biochimiste de l’armée américaine (il travaillait sur des projets ultrasecrets), il a réussi à trouver des documents confidentiels de la Maison Blanche et de la CIA. Il a découvert, entre autres, l’évocation dans un document du « secret de Pont-Saint-Esprit » par un agent de la CIA et un représentant du laboratoire suisse Sandoz. D’après le représentant, l’intoxication du village a été volontairement causée par de la diéthylamine, une substance entrant dans la composition du LSD.
Fait important, le LSD a été synthétisé en 1938 par deux chimistes suisses dont Albert Hofmann qui travaille pour le laboratoire pharmaceutique Sandoz. L’ergot de seigle est à la base de leurs recherches pour trouver de nouvelles applications thérapeuthiques. Les études sont très rapidement arrêtées car le LSD-25 ne présente aucun intérêt. Les deux chimistes décident de reprendre les expérimentations et découvrent fortuitement ses effets psychotropes. En 1947, le psychiatre Werner Stoll (fils du patron des laboratoires Sandoz) à expérimente le LSD sur ses patients. Le brevet est déposé aux Etats-Unis en 1948. Le journaliste a pu obtenir le témoignage de deux militaires qui corrobore les informations fournies par le document : une opération aurait été menée par la CIA et l’armée consistant à pulvériser du LSD sur Pont-Saint-Esprit pour contaminer la population.
Le convoi funèbre d'une des victimes de l'affaire dite du "pain maudit" passe devant la boulangerie. © AFPLe bilan fut lourd pour ce village :
7 morts, 50 internements dans des hôpitaux psychiatriques et plus de 250 personnes touchées par des symptômes durables sans qu’aucune explication officielle n’ait pu convaincre !
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CIA- 60 ans d’expérimentations secrètes sur des cobayes humains
1931 : Le Dr. Cornelius Rhoads infecte, sous couvert d’investigations médicales pour l’institut Rockefeller, des cobayes humains avec des cellules cancéreuses. Il expérimente ensuite les effets de la radiation en exposant des soldats américains et des civils hospitalisés.1932 : Entre 1932 et 1972, une étude clinique sur la syphilis s’est déroulée à Tuskegee, en Alabama. 500 personnes (399 patients souffrant de la syphilis et 201 personnes faisant partie du groupe-test non infecté), essentiellement des métayers Afro-Américains, ont été des cobayes volontairement non informés. Ces hommes ont été utilisés pour suivre l’évolution naturelle de la maladie sans aucun traitement. Ils n’ont pas été informés de leurs maladies ni soignés.
1935 : L’incident Pellagra. En 20 ans, plusieurs millions de personnes meurent de pellagre aux Etats-Unis. Cette maladie mortelle a pour principaux symptômes des dermatites, des diarrhées aigues et de la démence. Le service de santé publique américain a connaissance de la maladie et des moyens de la traiter (prise de niacine ou de vitamine B3) mais décide de ne pas agir en ignorant le problème. La maladie touchait principalement les populations afro-américaines pauvres.
1940 : Le Stateville Penitentiary Malaria Study est une étude menée par le département de médecine de l’Université de Chicago en partenariat avec l’armée américaine et le département d’Etat dans l’hôpital du pénitencier de Stateville. La malaria a été inoculée à quatre cents prisonniers pour tester des divers traitements et des drogues expérimentales.
è1942 : Le « Chemical Warfare Services » expérimente le gaz moutarde sur près de 4000 soldats jusqu’en 1945. Certains militaires deviennent cobayes volontaires pour éviter d’être envoyé sur le terrain sans connaître le but des expériences.
1944 : La Navy teste ses masques à gaz sur des sujets humains en les enfermant dans des chambres où ils sont exposés au gaz moutarde et au lewiste (un composé organique de l’arsenic).
è1945 : Projet Paperclip. L’état-major de l’armée des Etats-Unis, le département d’état et la CIA recrutent près de 1500 scientifiques allemands pour travailler sur des projets top secrets (armes chimiques, utilisation des psychotropes…) en échange de l’immunité et d’identités secrètes.
1945 : Le « programme F » est lancé par la commission américaine de l’énergie atomique (AEC). Une grande étude est menée sur les effets toxiques du fluor sur la santé. Le public testé n’est pas informé des risques encourus.
1946 : Plusieurs hôpitaux de vétérans de l’armée utilisent leurs malades comme cobayes pour des expériences médicales en les renommant « observations ».
1946 : Près de 1500 Guatémaltèques ont été infectés à leur insu par la syphilis et la blennorragie dans le cadre d’une étude menée par le gouvernement américain. L’étude a été menée sur des personnes vulnérables et sur des soldas dans sa seconde phase pour multiplier les contaminations qui n’étaient pas jugées suffisantes.
1947 : La commission américaine pour l’énergie atomique annonce dans un document secret du 8 janvier 1947 le début d’une expérience d’administration de substances radioactives par intraveineuses à des sujets humains.
1947 : Des cobayes humains subissent des expériences avec du LSD. La CIA étudie son usage comme arme.
1950 : La marine américaine réalise un essai grandeur nature d’attaque biologique. Elle pulvérise un nuage de bactérie au-dessus de San Francisco depuis les navires. La contamination est suivie grâce à des dispositifs de surveillance dans la ville. De nombreux habitants tombent malades.
1951 : Le département de la défense débute des essais à ciel ouvert avec des armes biologiques (bactéries et virus). Les retombées ne sont pas connues.
1953 : La CIA, l’armée et la marine américaine mènent des expériences à New York et San Francisco. Plusieurs milliers de personnes sont exposées à deux germes : Serratia marcescens (responsable d’infections nosocomiales) et Bacillius globigii.
1953 : Lancement du Projet MK-ULTRA. Le projet englobe de nombreux sous-projets destinés à étudier la manipulation de l’esprit et la modification du comportement par l’utilisation de drogues et d’agents biologiques. Six sous projets ont utilisés des cobayes à leur insu.
1955 : La CIA pulvérise des bactéries au-dessus de Tampa Bay en Floride pour tester ses capacités à infecter une population donnée.
1955 : Jusqu’en 1958, l’armée continue de tester le LSD sur 1000 Américains pour tester ses capacités à invalider l’homme.
1956 : L’armée américaine fait plusieurs essais pour tester les effets de la fièvre jaune. Des moustiques porteurs de la maladie sont lâchés en Floride. Les victimes des insectes subissent ensuite plusieurs tests.
1958 : 95 volontaires testent du LSD dans les laboratoires de l’armée pour évaluer ses effets sur l’intelligence.
1960 : Un test de dissémination de LSD est autorisé en France et Europe. Il s’agit de l’opération Third Chance en Europe et du projet Derby Hat en Asie.
1965 : Le département de la défense et la CIA lancent le projet MKSEARCH qui consiste à avoir recours aux drogues pour altérer l’esprit et manipuler plus facilement l’homme.
1965 : Des prisonniers de la prison d’état de Philadelphie sont exposés à la dioxine (un composé chimique toxique présent dans l’agent orange). Les hommes sont ensuite suivis pour étudier les effets du composé. Beaucoup développent des cancers.
1966 : Début du projet MKOFTEN qui vise à étudier les effets des drogues sur les humains et les animaux.
1966 : L’armée réalise un test géant en diffusant « Bacillus subtilis variant niger » dans le système de ventilation du métro new-yorkais. Un million de civils ont été exposés.
1968 : La CIA expérimente la possibilité d’empoisonner de l’eau potable à grande échelle en injectant des produits chimiques dans l’approvisionnement en eau de la Food and Drug Administration (FDA) à Washington.
1970 : Le projet de développement d’un agent biologique synthétique défiant l’immunité naturelle commence dans une installation top-secrète contenant les armes biologiques de l’armée. L’opération est menée par la division des opérations spéciales de Fort Detrick sous la surveillance de la CIA. Plusieurs rétrovirus auraient été produits.
1970 : Le gouvernement américain multiplie la production « d’armes ethniques » basées sur l’ADN qui peuvent éliminer les groupes ethniques visés.
1977 : Le Sénat lance une enquête sur la Santé et la recherche Scientifique. Les résultats sont alarmants : entre 1949 et 1969, 239 secteurs peuplés ont été souillés avec des agents biologiques dont des grandes villes comme Washington, San Francisco, Saint Louis ou encore Minneapolis.
1978 : Des vaccins expérimentaux contre l’hépatite B sont testés par le Center for Disease Control and Prevention à Los Angeles, New York et San Francisco. Les campagnes de recrutements visent les hommes homosexuels.
1981 : Les premiers cas de SIDA sont détectés dans la communauté homosexuelle, dans les trois villes où ont été testés les vaccins expérimentaux. Des suspicions naissent : le HIV aurait-il pu être inoculé via le vaccin contre l’hépatite B ?
1986 : Un rapport du Congrès révèle que des virus modifiés, des toxines naturelles et divers agents génétiquement modifiés sont utilisés comme agents biologiques par le gouvernement américain. Ils résistent tous aux vaccins existants.
1987 : Le département de la défense reconnaît que 127 laboratoires et universités effectuent des recherches et développent des agents biologiques malgré le décret l’interdisant.
1990 : 1500 nourrissons noirs et hispaniques de 6 mois ont reçu une injection de vaccin expérimental contre la rougeole sans que les parents n’en soient informés.
1994 : Un médecin du MD Anderson Cancer Center de Houston découvre grâce à la technique du « gene tracking » qu’un nombre important de vétérans de retour de l’opération « tempête du désert » sont atteints d’une souche modifié de Mycoplasma incognitus. Ce microbe entre dans la composition des armes biologiques. Le chercheur a pu déterminer qu’il avait été crée par l’homme.
1994 : Le Sénateur John D. Rockefeller publie un rapport dans lequel il stipule que des centaines de milliers de militaires ont été utilisés dans des expériences et exposés à des substances toxiques dont des hallucinogènes, des gaz neurotoxiques et des agents psycho-chimiques.
1995 : Le Dr. Garth Nicolson, découvre que les agents biologiques employés pendant la guerre du Golfe ont été fabriqués à Houston et à Boca Raton, en Floride et qu’ils avaient été testés sur des prisonniers au Texas.
1996 : Le département de la Défense admet que les soldats de « Tempête du Désert » ont été exposés à des agents chimiques.
1996-2011 : ??????
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Source- Le Monde de l’Inconnu n° 349 d’avril/mai 2011
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Par Tyron29 le 3 Juin 2013 à 11:40
PROGRAMME SECRET
ZOOM SUR LE PROJET « RAYON BLEU »
Par Alain Moreau
On évoque très régulièrement dans certains milieux dits conspirationnistes, le Projet Blue Beam, mieux connu en France comme le projet du Rayon Bleu. Selon Serge Monast – un journaliste d’enquête canadien décédé en 1996 – ce programme secret est une stratégie de la NASA, l’agence spatiale américaine, qui vise à imposer progressivement une religion du « Nouvel Âge ». Certains haut-responsables échafauderaient ainsi dans l’ombre un vaste plan scientifique mettant en œuvre des technologies spatiales high-tech avec un objectif majeur : l’instauration d’une religion unique comme première pierre de la fondation d’un nouvel ordre mondial…HOLOGRAMMES & MYSTIFICATIONS
Selon les spécialistes du dossier, la mise en place du Projet Blue Beam se déroule en quatre phases. La première phase consisterait à imposer « une sorte de religion unitaire absorbant toutes les disciplines et tous les courants de pensées dans un paradigme très large, et où tous y trouvent leur compte ». La deuxième phase concernerait une gigantesque mise en scène à l’aide d’hologrammes optiques et sonores en trois dimensions, une projection laser d’images holographiques en divers endroits du monde qui ferait basculer l’opinion publique. Chacun recevrait en effet une image en accord avec la foi dominante de son pays. La projection d’images holographiques dans le ciel serait utilisée pour simuler la fin des temps parmi les nations. Les peuples seraient témoins de scènes représentant les prophéties et les évènements que chacun a eu le désir de vérifier, et ces images, musiques et sons seraient projetés depuis un vaste réseau de satellites… Voici comment Serge Monast décrit cette seconde phase :
« Le but de ces représentations scéniques est de faire apparaître aux yeux du monde un « nouveau Christ », le nouveau messie Maitreya dont parlent les « sutra » bouddhistes. (…) Le projet Blue Beam – la venue du messie – prétendra être l’accomplissement des anciennes prophéties, l’évènement majeur depuis 2000 ans. Et il sera sur fond de cinémascope céleste traduisant en simultané un message d’amour dans toutes les langues et dans tous les dialectes de la planète. Avec cette animation virtuelle et le son provenant de la profondeur même de l’espace, les fidèles de diverses croyances, fortement impressionnés, seront témoins du retour de leur sauveur comme une réalité vivante. Ensuite les projections de Jésus, Mohammed, Bouddha, Krishna, etc., se fondront en une seule figure après que l’on aura expliqué le mystère des révélations religieuses et de leur dévoilement. En fait cette divinité unique sera l’antéchrist qui expliquera que les différentes écritures sacrées ont été mal interprétées et incomprises, et que les vieilles religions sont responsables d’avoir dressé l’homme contre l’homme. Cette grande mystification aura pour effet de générer un désordre social, politique, culturel et religieux ».
LA TECHNOLOGIE D’UNE NOUVELLE ERE
La troisième phase conjuguerait la télépathie avec l’électronique, et chaque personne serait persuadée que c’est son propre dieu qui lui parle au niveau de son âme. La quatrième phase concernerait des manifestations surnaturelles produites grâce à des moyens électroniques. Un premier leurre consisterait à faire croire qu’une invasion extraterrestre va se produire dans chaque grande ville de la planète. Un deuxième leurre consisterait à faire croire aux chrétiens qu’un merveilleux évènement va avoir lieu « sous la forme d’une intervention extraterrestre bénéfique dans le but de protéger les Terriens d’un démon impitoyable ». Le but de cette manœuvre serait de rassembler d’un seul coup tous les opposants à l’ordre mondial « juste avant le début du spectacle céleste ». Les moyens de communications seraient ensuite utilisés pour « diffuser des ondes visant à déstabiliser psychiquement les populations au moyen d’hallucinations individuelles et collectives ». La population mondiale sera alors prête « pour accueillir le nouveau messie en chair et en os un cyber- « Rockfeller » faussement « extranéen », qu’on suppliera de rétablir l’ordre et la paix à n’importe quel prix, mais surtout au prix de notre liberté individuelle ».
Serge Monast a par ailleurs écrit de nombreux passages sur les conséquences du projet Rayon Bleu, affirmant notamment qu’une « unité artificielle des peuples permettra de régler les problèmes urgents, lesquels ont été, de toute façon, créés de toutes pièces ». Progressivement, cependant, « la face tyrannique de la nouvelle religion mondiale apparaîtra et nombre de personnes se réveilleront ». Le contrôle de la Terre « sera entre les mains d’une caste de ‘grands prêtres’ et de technocrates impitoyables agissant ‘au nom de Dieu’ ». Le but de cette dictature est censé être le contrôle de tous les habitants et l’exploitation globale des ressources de la planète.*
VERS UN NOUVEL ORDRE MONDIAL ?
Pour l’auteur, aucun doute que le programme Blue Beam a planifié ses actions depuis de nombreuses années, anticipant les mécanismes qui permettront de changer la face du monde : « Selon les rapports que nous avons reçus, nous croyons que cela commencera par une sorte de désastre économique mondial ». Et pour prévenir toute velléité d’indépendance individuelle, « le nouvel ordre mondial a déjà implanté des micro-puces dans les espèces animales sauvages, les oiseaux, les poissons, etc. ». POURQUOI ?
Ils veulent s’assurer « que les résistants à l’ordre mondial ne pourront ni chasser ni pêcher, « ils seront vite repérés par les satellites, puis traqués, emprisonnés ou tués ». Ceux qui paraîtront « anormaux » ou peu fiables « seront envoyés dans des camps d’exterminations où leurs organes seront prélevés et vendus aux plus offrants » ! Quant à ceux qui ne seront pas éliminés, ils « seront utilisés comme travailleurs esclaves ou serviront de cobayes pour les expériences médicales ». Le but de cette dictature est censé être le contrôle des habitants de la planète. Pour ceux qui « n’accepteront pas le nouvel ordre mondial, on a prévu des camps de concentration et de rééducation où les détenus seront classés selon une nouvelle identification sur la base des couleurs de l’arc-en-ciel ». Les prisonniers de deuxième catégorie « seront utilisés pour les expériences scientifiques et médicales », les prisonniers de troisième catégorie (en bonne santé) « serviront à la banque internationale d’organes » (les organes étant retirés l’un après l’autre pendant qu’on « maintiendra en vie artificiellement » les corps), la quatrième catégorie étant constituée des prisonniers travaillant sous la terre. Les camps et les esclaves seraient cachés de la population. La cinquième catégorie serait celle des citoyens « non fiables » qui seraient rééduqués « pour se repentir à la télévision en faisant l’apologie du nouvel ordre mondial » ! Quant à la sixième catégorie, elle concerne « ceux qui seront exécutés ».
UNE CONSPIRATION PEU CREDIBLE…
Que penser de ce « Projet Blue Beam » ? Selon la plupart des enquêteurs sérieux, il s’agit là d’affirmations fantaisistes qui ne relèvent que du conspirationnisme primaire. D’ailleurs, on ne trouve pas, dans l’article de Serge Monast, une seule information explicitant la source des allégations de l’auteur. On nous dit que c’est un projet de la NASA, c’est tout… On imagine pourtant mal la NASA se prêter à ce genre de mascarade mondiale, même si l’agence spatiale américaine est régulièrement évoquée dans les dossiers des programmes secrets. On a d’ailleurs déjà imputé à la NASA les prétendus faux atterrissages lunaires. Un informateur – dont les interviews ont été publiées dans la revue Top Secret, mentionne le Projet Blue Beam. Dans le numéro 58 de décembre 2011/janvier 2012 de la revue, cet informateur prétend que les instigateurs du Nouvel Ordre Mondial feront croire à une invasion extraterrestre multi-dimensionnelle et prétendront vouloir protéger les populations, des technologies de pointe inconnues du public devant être utilisées, dit-il, pour faire croire aux gens à certaines choses venues du ciel. Il ajoute :
« Le Projet Blue Beam créé, dirigé et orchestré par la NASA est connu, mais ce qui est rendu public n’est en fait qu’une minuscule pointe de l’iceberg. Les populations sont à des années-lumière de s’imaginer l’ampleur et la puissance de tout ceci ». Que penser cependant de l’ensemble des révélations de ce personnage ? Si certaines semblent correspondre à la réalité, d’autres, par contre, laissent pour le moins perplexe et montrent que tout n’est pas exact (comme le projet Blue Beam). Ainsi, dans le numéro 56 d’août/septembre 2011 de cette même revue, l’informateur prétend qu’il n’est pas permis de voir au-delà du 21 octobre 2012. Il affirme aussi que des contacts ont eu lieu avec des voyageurs du futur venant de la fin du 34ème siècle ! Aucun de ces voyageurs, dit-il, n’a pu apporter de réponse à ce mystère relatif à la période postérieure au 21/10/2012…
A la fin de la conclusion de mon ouvrage « Le livre des prophéties » (éditions Le Temps Présent, 2011), j’ai brièvement évoqué les attentes apocalyptiques pour 2012, en déclarant qu’il n’y aura pas, cette année-là, de catastrophes d’ampleur planétaire. Comme le 21 décembre 2012, le 21 octobre 2012 ne sera pas un jour particulièrement extraordinaire. A moins que ?
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Source- Mondes Etrange n°16 de juillet 2012*
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Par Tyron29 le 24 Juin 2008 à 19:22
ARMES A INFRA-SONS : DECOUVERTE EXTRA-TERRESTRE UTILISE PAR NOS SCIENTIFIQUES ?
partie1
Les armes à infra-sons utilisées dans les conditions et les instructions suivantes peuvent conduire à la destruction massive de personnes se trouvant dans des abris ou dans des engins blindés de combat. Si les ondes passent par l'intermédiaire de courants telluriques, les abris anti-atomiques sont aussi vulnérables.
Un fait important, la construction des armes à infra-sons entraineraient des dépenses bien plus faibles que celle de n'importe quel type d'arme de destruction massive existante. L'arme nucléaire se trouve sur ce point et d'ailleurs sur bien d'autre complément démodé et nettement dépassée, et moins dangereux pour la planète. Voilà pourquoi nos amis extraterrestres nous proposent des armes moins dangereuses pour eux ? Je précise que l'action des infra-sons sur l'organisme est la plus meurtrière.
Aux fréquences de 7 et 8 hertz elles coïncident avec la fréquence propre des organes internes, le coeur en particulier (arrêt cardiaque à distance ?) Il se produit alors un phénomène dit de résonance, qui entraine le déchirement des organes internes. L'homme n'entend pas les infra-sons, ceux-ci provoquent des maux de tête, des vertiges, des vomissements, des troubles visuels, des spasmes dans la gorge, perturbent la respiration et font apparaître des effets dits psychologiques entrainant un sentiment de peur et un évanouissement. Pour certains cas, ils peuvent même provoquer une crise d'épilepsie. Le matériel des 2000 arrive même maintenant à provoquer des arrêts cardiaques en 30 secondes dans un rayon de 30 m. Les armes à infra-sons de faible puissance agissent sur les courants bio-électriques du cerveau et sur l'ensemble du système nerveux, c'est-à-dire sur l'état physique de l'homme et peuvent ainsi priver ce dernier de son aptitude à combattre et à se défendre.
(Voilà pourquoi il n'y a plus beaucoup de réaction des humains devant les problèmes du monde ?) De plus, les infrasons peuvent se propager dans l'air, l'eau et l'écorce terrestre à très grande distance : 100 à 200 km en suivant les veines des courants tellurique qui servent d'éléments porteurs sans déperdition notable, font qu'il est pratiquement impossible d'opposer à leur propagation quelques obstacles que ce soit, les constructions même importantes et solides n'ayant sur eux absolument aucun effet. Sur la base des résultats acquis dans le domaine de l'acoustique, la mise au point de telles armes apparaît possible dans les années 2010.
Les armes actuelles de ce type sont un peu lourdes et peu transportables. Les deux années à venir vont résoudre largement ce problème. Cette arme mise en parallèle avec l'effet EMP résous complètement l'inutilité des armes atomiques destructives à grande échelle et sans contrôle. L'étude actuelle en grand secret dans des zones géologiques favorable à la transmission des infrasons, reste purement Militaire et les dossiers restent ultra-confidentiels. Il est certain que cette nouvelle façon de voir les hostilités entre peuples est extrêmement sectaire. La parade de ces armes semble difficile actuellement. Il ne faut pas oublier que les armes à radio-fréquences sont dans la 1ere phase qui sera vite démodée, vu la vitesse du développement technologique.
Des zones clefs se trouvent actuellement dans divers pays. Ces zones sont recherchées par la Russie, et les Etats-Unis, la France, la Chine, (Tibet ?), Israël et la Grande Bretagne, souvent bien en dehors des territoires légitimes. La France bien placée en Europe possède plusieurs Zones actuellement de recherches, Murol, Sud de Beauvais, Forêt d'Orient et dans les collines au nord de Lyon, qui replace Taverny depuis quelques mois.
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Recherche et source personnelle par Claude Burkel
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