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Quel est le poids de l'Ame ?
QUEL EST LE POIDS DE L’AME ?
PREUVE DE LA VIE APRES LA MORT
L’âme pèserait 21 grammes… Spiritualisme et matérialisme se rencontrent parfois : par exemple pour révéler qu’il y a « quelque chose » qui se dégage du corps, qui est lumineux et doué d’énergie. Gaz ionisé, électrons libres, et radiations... c’est ce qui reste à établir.
Vingt et un grammes. Telle est sans doute le poids de ce qu’il est convenu d’appeler l’Âme, d’un être humain, cette forme d’énergie exceptionnelle qu’aucun accélérateur de particules ne peut lui rendre quand il est mort. C’est le résultat d’une expérience qui remonte dans les années 30, qui a été depuis lors presque complètement oubliée et qui mérite l’attention.
Duncan Mac Dougall, frère du psychologue et parapsychologue William Mac Dougall, auquel l’Encyclopedia Britannica accorde une longue et honorable notice, avait l’idée que l’Âme devait posséder une certaine matérialité. Il fit donc placer des agonisants dans une clinique sur une balance intra sensible.
Aux approches de la mort, il enregistra, en effet, rapporte le seul auteur qui ait il y a déjà longtemps rappelé cette expérience (Nils O’Jacobson) une déperdition progressive de poids ; elle s’élevait à 28 grammes par heure environ. Il l’attribua à la déshydratation de l’agonie. Mais, au moment exact de la mort, il enregistra une perdition, cette fois-ci soudaine, de 21 Grammes. L’importance du phénomène réside dans un temps bref où il se produit. Mac Dougall décide alors d’en avoir le cœur net. Il recommence 92 fois la même expérience et obtient autant de fois les mêmes résultats. N’importe quel esprit scientifique en tirerait une loi et c’est ce que fait Mac Dougall ; il en conclut que l’Âme ou cette « chose » ainsi nommé pèse 21 grammes. Personne n’a refait ces expérimentations depuis lors (officiellement ?) ; la mort inspire un respect qui interdit pratiquement l’expérimentation. C’est dommage, car recherche ne porterait nullement atteinte à la dignité humaine ; elle prouverait seulement que l’Âme existe.
DES PHOTOGRAPHIES DE L’AME ?
Plusieurs années plus tard, un Français, Hyppolite Barraduc, eut l’idée de photographier son fils mourant. Les photos montrèrent une tache blanche au-dessus de l’enfant. Quand sa femme rendit l’Âme, six mois plus tard, Baradue refit l’expérience. Même tache blanche, étirée, nébuleuse, comme si elle montait dans l’air.
Il y avait bien « quelque chose » : une substance, assez matérielle pour impressionner une pellicule photographique, de forme imprécise et douée de mobilité, mais toutefois peu dense. Pour un physicien, une telle description ne peut manquer d’évoquer les phénomènes d’ionisation de l’air. L’idée qu’il y ait dans le corps humain des électrons libres n’est pas du tout surprenante : notre système nerveux ne fonctionne que grâce à une circulation constante d’électrons le long des neurones. L’une des grandes questions de la physiologie, actuellement, est de savoir si ces électrons quittent les limites du corps : c’est d’ailleurs la thèse de ceux de ceux qui croient que les fameuses photographies de Kirlian, ces photos prises directement par contact d’un objet avec une plaque photographique dans un champ électronique intense et qui révèlent des auras lumineuses, régulières ou en aigrettes autour de l’objet, sont des photos « paranormales ». Il est tout à fait vraisemblable que la question sera résolue un jour, peut-être par un de ceux-là qui ne croient pas à « tout cela ». N’est-ce pas un neurologue américain qui vient Qui vient de découvrir que la tête possède un champ électromagnétique et que ce champ est orienté par le regard ?
Restent les deux grands points de la luminosité et du poids de l’Âme. Il faudra certainement refaire plusieurs fois les expériences de Mac Dougall pour établir ce poids de 21 grammes, avec l’appareillage qui permettra de savoir, par exemple, combien de secondes ou de fractions de secondes ces 21 grammes mettent à se soustraire du poids du mourant. Ce sont de ces précisions qui seules peuvent persuader les sceptiques. Mais il faut bien, nous semble-t-il, qu’il y ait à la fois masse ou énergie pour obtenir des phénomènes tels que les moulages ectoplasmiques.
LA FEMME LUMINEUSE
L’idée d’une énergie doublée de luminosité peut surprendre, quand on la rattache à la manifestation de l’Âme ou, en tout cas de la « substance » décelée par Baraduc et Mac Dougall.
Nous sommes, en effet, habitués par une culture, assez vagues sur ces questions, admettons-le, à penser que l’Âme est « immatérielle » et dénuée d’énergie. Mais c’est que l’on ne s’est pas sérieusement penché sur ce problème et que l’on n’a pas assez étudié les cas qui permettent de l’éclaircir. Il y a un ainsi, le cas de la « femme lumineuse » de Pirsano, bourgade perdue du Nord de l’Italie. En 1934, cette femme attire l’attention des autorités de la région par le fait qu’elle devenait lumineuse à l’œil nu. La lumière bleuâtre qu’elle émettait et qui suscita un long article dans « The Times » du 5 mai 1934, finit par intéresser un médecin, le Dr Protti, d’une société médicale affiliée à l’Université de Padoue. Le même médecin filma la femme de Pirsano, afin d’en obtenir un document exact ; elle devenait lumineuse par pulsion. Lors de ces pulsions, sa respiration et les battements de son cœur s’accéléraient et le « crise » finissait par des sueurs diffuses. Le cas est rapporté, entre autres, par Thurston.
EXPLIQUER CE FEU SCIENTIFIQUE…
Toujours est-il que l’on peut très bien imaginer, lors d’états psychiques spéciaux et au moment de la mort, une libération importante d’électrons ionisant faiblement l’air. On peut également supposer que la quantité d’électrons qui circulent durant la vie le long des milliers de kilomètres des circuits nerveux, tendent à s’en échapper en partie. Albert Szent-Gyorgi, Prix Nobel de Médecine, attribue même le cancer à un dérèglement de la production de ces électrons, mais au niveau des cellules et non pas seulement des circuits nerveux ?
Etant donné qu’il faut 10 / puissance 27 électrons pour faire un gramme (un milliard de milliards de milliards !), il en faudrait 21 milliard de milliards de milliards pour réaliser le poids relevé par Mac Dougall : à supposer que ces électrons ne soient pas mélangés à de la vapeur d’eau. Cela est une spéculation, mais elle n’est pas moins admissible pour cela.
Après tout, il fallait que la femme de Pirsano libérât pas mal d’électrons pour parvenir à ioniser l’air ambiant pendant plusieurs minutes.
APPARAITRE EN DEUX ENDROITS DIFFERENTS
Ces électrons gardent-ils une « mémoire » des formes du corps abandonné
C’est difficile à admettre, puisqu’ils sont, justement libres. Pourtant, les ectoplasmes photographiés ont souvent de ces formes floues qui évoquent un suaire ; parfois aussi, ils se précisent, avec un visage ou des mains plus ou moins modelés. Quelquefois encore, et cela serait totalement inexplicable sous le point de vue des électrons, ils se présentent sous la forme exacte du vivant, vêtements inclus (comme dans la fameuse photographie de la femme descend un escalier de Blenheim Palace).
Si l’on fait intervenir les cas de bilocation, les déplacements d’électrons peuvent difficilement être invoqués. Les cas de bilocation sont souvent sont autre endroit parfois à des centaines de kilomètres de distance, comme ce fut le cas avec le fameux Padre Pio sans cesser d’être…là où elle est ! De tels cas, qui foisonnent dans la littérature du paranormal, laïc et religieux, portent toujours sur des apparitions vêtues.
Donc les électrons n’expliquent pas tout de cette matière-là. Peut-être faut-il alors faire intervenir l’idée d’une énergie cosmique diffuse, que l’on trouve, assez bizarrement, à la fois chez un théoricien de la cosmologie, le professeur Vallée, et chez un théoricien « bio-psychanalyse » singulier, le fameux Wilhelm Reich. Pour le premier, l’univers est rempli par des vibrations ultra-courtes qui font vibrer les atomes et qui seraient de nature électromagnétique ; ce serait une sorte de réservoir d’énergie, dans lequel la radioactivité permettrait de « pomper ».
Or, justement, nous sommes constamment le siège de minuscules réactions radioactives. On peut donc imaginer que, lorsque la mort survient, c’est par arrêt de ces réactions : les électrons maintenus dans notre corps s’en échapperaient alors pour regagner, tôt ou tard, le réservoir d’énergie. Pour Reich, qui nomme « orgone » cette énergie diffuse, nous sommes tous des accumulateurs d’énergie plus ou moins bien réglés : la maladie et la mort ne surviennent que par dérèglement ou épuisement ; là, l’énergie s’échapperait de notre substance. Si l’on accepte l’une et l’autre théorie, on peut suggérer l’hypothèse suivante : c’est l’ensemble des phénomènes « paranormaux »seraient, en fait, des phénomènes de résonance, c’est-à-dire des sortes d’échos électromagnétiques très puissants propagés par des personnes offrant une forte résistance à l’énergie cosmique diffuse. Télépathie, télékinésie, manifestations spirites, etc., seraient, en quelque sorte, des réflexions énergétiques de certaines personnes. Cela expliquerait que ces échos aient un poids. Et tout les électrons posséderaient à l’intérieurs d’eux la mémoire de toute les informations de la vie terrestre et aussi antérieurs humaines. L’affaire des 21 grammes deviendrait donc plausible pour la suite d’une autre vie.
REPRENONS LES EXPERIENCES
Ce genre de théorie souffre parfois de suspicion même si on accepte de s’y arrêter, ce n’est qu’avec méfiance. Cela vaut quand même la peine de dire qu’en s’inspirant des théories de Vallée, un Belge. M. Erci d’Hoker, a réussi à fabriquer une pile inépuisable, à carbone, puisant directement dans le rayonnement électromagnétique universel. Ne serions-nous, avec tout le carbone que nous contenons, que des piles de ce genre ?...
Il est en tous cas regrettable que les biologistes ne s’intéressent pas plus à ces questions. Il suffirait d’un appareillage relativement simple, caméras à filtres faire des photos de barraduc. Des balances de précision permettraient également de vérifier les chiffres de Mac Dougall. Nous avons à notre époque en 2013 toute la technologie pour ce genre de recherches. La physiologie y gagnerait à coup sûr, la physique aussi, sans doute. La parapsychologie, en tout cas. Le contrôle d’un flux d’électrons libres dégagés par les êtres humains, soit au cours de leur existence, soit au terme de celle-ci, offrirait une base enfin solide pour l’analyse des phénomènes de télépathie et de télékinésie. Ni l’intérêt d’hommes aussi illustres que William James, Schiaparelli, Crookes, Thomas Mann, Flammarion, Koestler, ni leurs témoignages et ni les spéculations plus ou moins hasardeuses motivés par les manifestations psychiques n’offrent un poids comparable à celui d’un bon travail de laboratoire. Peu importe au fond, que l’Ame pèse 21 grammes ou 22, ce qui compte, c’est que l’on s’engage sur les sentiers de notre existence, et notre univers dans sont intégralité, mais il est certain que nos amis extra-terrestres, doivent eux le savoir.
REF :Suite à des recherches faites par Georges ASSIER dans une revue L’INCONNU du N° 5 Avril 1976
Certain éléments on été modifier pour ne pas perturber certaines personnes, et aussi sur les connaissances et recherches scientifiques en cours, merci a tous
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