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Par Tyron29 le 1 Juin 2020 à 08:11
Des portes et des fenêtres qui s'ouvrent toutes seules, des objets qui disparaissent… Des phénomènes étranges se produisent dans l'hôpital de Dax (Landes) depuis plusieurs semaines (02/2019).
Des phénomènes étranges inexpliqués : des objets qui bougent tout seuls.
L’hôpital de Dax, situé dans les Landes, fait face depuis trois semaines à des phénomènes "paranormaux". Les patients et personnels hospitaliers en ont constaté plusieurs d’après France Bleu Gascogne.
Des portes et des fenêtres s’ouvriraient toutes seules alors qu’elles étaient fermées, des objets et du matériel médical auraient changé de place comme par magie et des chaises se seraient retrouvées en plein milieu d’un couloir. Des poches d’urines ouvertes ont par ailleurs été déversées par terre et sur des paillasses.Et ce n’est pas tout. L’un des évènements les plus étonnants est celui d’une patiente tétraplégique qui a vu son drap s’enlever tout seul...
Des évènements inexplicables en l'état et qui inquiètent tant les patients et leur famille, que le personnel soignant. Certains parlent même de "Belphégor de l'hôpital", faisant référence à la célèbre saga française de 1965.
Phénomènes étranges : une enquête ouverte
Bien qu’aucun acte "grave" n’ait été enregistré, ces évènements sont pris au sérieux par les policiers de la ville. Une enquête a été ouverte pour mettre un terme à cette supercherie puisqu’en effet, le commissariat privilégie la thèse d’une "mauvaise blague". L’hôpital de Dax serait victime de la plaisanterie d'un individu.
Pour les enquêteurs, deux éléments étayent cette piste. Tout d’abord parce qu’il faut se munir d’un code pour pénétrer sur le site dans la nuit ensuite, parce que certaines actions commises nécessiteraient des connaissances médicales.
Face à cette situation, la sécurité a été renforcée. La police fait des rondes depuis trois semaines avec l’aide de plusieurs agents de sécurité pour éviter que ces évènements ne se reproduisent. Efficace puisque depuis le fantôme de l’hôpital se fait discret…
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Par Tyron29 le 5 Janvier 2020 à 15:39
En naviguant sur Google Street View, un quadragénaire anglais s’est “figé de peur.” Sur plusieurs clichés de la Summer Row à Birmingham, un étrange personnage, à la peau verte, à l’air grincheux...
Un extraterrestre ? Un homme déguisé pour Halloween ? Le Grinch ? Stevie Hall, 47 ans n’en croit pas ses yeux : alors qu’il cherchait sur Google Street View une place de parking adaptée pour se rendre sur le marché de Noël allemand de Birmingham, il s’est retrouvé face à une créature.
Un homme, brun et barbu, droit dans ses bottes, à la peau verte et au visage effrayant.
"Je me suis figé de peur lorsque je l’ai vu. Mes cheveux se sont dressés sur ma tête," a expliqué Stevie Hall au Sun. "Avec mon ami, nous avons pensé que nous avions des hallucinations. Nous avons vérifié une nouvelle fois les photos en indiquant l’adresse," ajoute-t-il.
Pour lui, il ne s’agit pas d’un masque pour Halloween : d'après Google, les clichés ont été pris en avril, pas en octobre. "J’ai aussi cherché s’il y avait des conventions à proximité mais il n’y avait rien," Stevie Hall en est également persuadé : les images ne peuvent pas être truquées car "il y a des reflets sur la voiture."
Troublé, le Britannique qui "ne croit pas aux théories du complot " a également recherché sur des sites marchands comme Amazon ou e-Bay si un masque ressemblant au visage de l’homme, existait… Mais il n’a rien trouvé. Alors : homme masqué ou monstre vert grincheux ? Une idée ?
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Par Tyron29 le 8 Décembre 2019 à 12:10
Une femme entraînée par une vague apparaît vivante 18 mois plus tard au même endroit et avec les mêmes vêtements. Chaque jour, il y a de nouveaux cas de personnes disparues partout dans le monde.
Dans certains cas, ils sont victimes d'enlèvements ou de vengeance, mais dans d'autres il n'y a pas de raison apparente, ils disparaissent simplement de la surface de la terre, laissant derrière eux un sentiment de tristesse parmi leurs proches et amis proches. Il est vrai que la majorité des disparitions inexpliquées n'ont jamais été résolues, mais parfois la personne disparue réapparaît, bien que leur retour puisse être aussi étrange et surréaliste que la disparition elle-même.
Ces gens qui ont apparemment cessé d'exister, sont apparus de nouveau des années voire des décennies plus tard avec une histoire plutôt étrange, et cela soulève autant de questions que de réponses. Et l'un de ces cas vient de se produire en Indonésie. En janvier 2017, une femme de 53 ans a été entraînée par une vague. Malgré l'opération de recherche, ils ne l'ont pas retrouvée. Mais samedi, elle est apparue au même endroit où elle avait disparu, inconsciente et avec les mêmes vêtements qu'elle portait le jour où il a été entraîné dans la mer.
Le mystère de Nining
L'histoire surnaturelle a commencé début janvier 2017. Selon le portail d'information indonésien "Tribunnews.com", Nining Sunarsih, 53 ans, était en vacances avec sa famille sur une plage de Citepus, Sukabumi.
Elle prenait un bain lorsqu'une grosse vague l'a entraîner à la mer pendant que sa sœur et son petit-fils la regardaient sans défense. Une opération de recherche et de sauvetage a été rapidement organisée, et ils ont trouvé un corps, bien que les tests d'ADN aient révélé que ce n'était pas Nining. Après plusieurs jours, la police a décidé d'annuler les recherches mais sa famille a continué à croire qu'elle était vivante et qu'elle reviendrait en toute sécurité.
18 mois plus tard, le mois dernier, le père de Sunarsih a commencé à avoir des rêves étranges et révélateurs qu'elle était sur la même plage, en attendant d'être aidée.
Au début, le père n'a pas accordé d'importance à ses rêves, mais après avoir fait plusieurs fois le même rêve, il décide de retourner à la plage samedi dernier. La famille a commencé à chercher dans l'après-midi et au début ils n'ont pas réussi, mais à minuit ils ont trouvé Sunarsih.
Elle a été retrouvée par sa sœur, qui était l'une des personnes qui l'a vit vue disparaître. Selon les médias locaux, Sunarsih était inconscient et, entièrement vêtue et à environ 500 mètres de l'endroit où elle avait disparu. Sa famille l'a ramenée à la maison et a appelé le service médical, qui a confirmé qu'elle n'avait subi aucune blessure grave.
Quelques jours plus tard, elle a repris conscience et a pu manger et boire, mais jusqu'à présent elle ne peut parler, ce qui signifie que personne n'a pu lui demander ce qui s'est passé et où elle était. Les autorités indonésiennes ont ouvert une enquête sur l'incident, mais exhortent les gens à "penser logiquement" à la disparition et à ne pas tirer de conclusions hâtives.
"Il est de notre devoir de rechercher les faits de cet événement", a déclaré Susatyo Purnomo, chef de la police de la ville de Sukabumi.
"Nous demandons aux gens de ne pas être influencés par des informations qui ne sont pas encore claires."
Plus de questions que de réponses
Mais la recommandation du chef de la police n'a pas eu l'effet escompté, puisque les premières rumeurs et les nouvelles contradictoires ont déjà commencé à émerger. Selon certains rapports, certaines personnes ont affirmé avoir vu une femme semblable à Nining marchant près de la route à côté de la plage ou à la recherche d'un bain.
Dans les deux cas, la femme semblait désorientée et ne parlait pas. Un autre témoin s'est souvenu du jour de la disparition et a dit qu'il l'avait vue dans un abri. D'un autre côté, il y a aussi des informations non confirmées qui indiquent que le travail de Nining était de garder l'argent des autres.
Apparemment, elle aurait pu utiliser l'argent des autres pour des vacances ou d'autres raisons.
Victime d'une abduction extraterrestre ?
Comme nous l'avons déjà dit, cela n'expliquerait pas comment 18 mois plus tard elle est réapparue avec les mêmes vêtements et au même endroit.
Et puis, il y a le fait que sa sœur a vu comment une grande vague l'a traînée vers la mer. Certains ont donc suggéré qu'elle aurait pu être victime d'un enlèvement extraterrestre. Les experts dans le domaine disent que certains enlèvements ont lieu avant la mort d'une personne, afin de ne pas interférer dans la ligne spatio-temporelle de notre réalité.
Cependant, pour des raisons inconnues, dans certains cas, la personne est renvoyée vivante au même endroit où elle doit être décédée.
La chose intéressante dans ce cas serait de savoir si la preuve médicale révèle que le corps de Nining n'a subi aucun changement physique 18 mois plus tard. Mais jusqu'à présent, la réapparition de cette femme nous laisse plus de questions que de réponses.
Où étais-t'elle pendant tout ce temps ?
Pourquoi portaient t-elle les mêmes vêtements que le jour de sa disparition ?
A-t-elle voyager dans le temps ?
A-t-elle victime d'une abduction extraterrestre ?
Et les messages révélateurs du père, comment les interpréter ? Saurons-nous à jamais la vérité ?
Elle seule connaît les réponses à ce mystère...
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Par Tyron29 le 24 Octobre 2019 à 07:44
Depuis cinq ans, un Indien âgé de 74 ans vivait avec une excroissance qui poussait sur son crâne. Celle-ci s'était formée suite à un choc violent. The Sun rapporte que cette protubérance est une tumeur - souvent bénigne - qui se forme à partir de la kératine. Mais, depuis quelques semaines, Shyam Lal Yadav - qui était surnommé "l'homme licorne" - ne l'a plus grâce à une opération chirurgicale.
Un des chirurgiens ayant pratiqué l'opération explique "[qu']au début, l'excroissance ne causait aucune gêne". "Lorsque la masse a durci et a commencé à grossir, il s'est rendu à l'hôpital de Sagar", continue le docteur Vishal Gajbhiye.
Les chirurgiens ont retiré l'excroissance et ont greffé de la peau sur la plaie. Après l'opération, l'homme a passé une dizaine de jours à l'hôpital. Une biopsie réalisée sur la "corne" a montré qu'elle était bénigne.
Aujourd'hui, les scientifiques ne connaissent pas les causes exactes de l'apparition de cette corne. The Sun précise que, selon certaines théories, les niveaux élevés d'exposition aux radiations seraient l'une des causes.
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Par Tyron29 le 10 Septembre 2019 à 11:12
Niché dans l’Himalaya indien à environ 5.000 mètres d’altitude, le lac Roopkund est gelé une grande partie de l’année. Mais quand les jours sont plus chauds, il offre un spectacle macabre puisque des centaines de squelettes humains émergent de ce qu’on appelle aujourd’hui “le lac des squelettes”.
Qui étaient ces individus, et qu’est-ce qui leur est arrivé ? L’hypothèse principale était jusqu’ici qu’ils sont morts simultanément lors d’une catastrophe il y a plus de 1.000 ans. Une étude anthropologique, réalisée il y a plusieurs années, a étudié cinq squelettes et a estimé qu’ils avaient 1.200 ans.
Mais une nouvelle analyse génétique effectuée par des scientifiques en Inde, aux États-Unis et en Allemagne, a bouleversé cette théorie. L’étude, qui a examiné l’ADN de 38 cas, indique qu’il n’y a pas eu qu’un seul déversement massif de cadavres, mais plusieurs répartis sur un millénaire.
Des origines et des dates de décès différentes
Le rapport, publié mardi dans Nature Communications, a permis d’obtenir “une vision beaucoup plus riche de l’histoire possible de ce site” que les efforts précédents, a déclaré Jennifer Raff, généticienne et anthropologue à l’Université du Kansas.
Les anthropologues connaissent le lac Roopkund depuis plusieurs décennies, mais en savaient peu jusqu’ici sur la provenance des squelettes. Des glissements de terrain, des visiteurs humains et autres ont perturbé et déplacé les restes, ce qui rend difficile de savoir quand et comment les individus ont été enterrés, et encore moins qui ils étaient. “Dans un cas comme celui-ci, cela devient impossible”, a déclaré Cat Jarman, un bioarchéologue de l’Université de Bristol en Angleterre.
Les chercheurs, dirigés en partie par Niraj Rai, expert en ADN ancien au Birbal Sahni Institute of Palaeosciences en Inde, et David Reich, généticien à l’Université Harvard, ont extrait l’ADN des restes de dizaines d’échantillons squelettiques et ont réussi à identifier 23 hommes et 15 femmes.
“Difficile de croire que chaque individu est mort de la même façon”
D’après les populations actuelles, ces individus appartiennent à trois groupes génétiques distincts. Vingt-trois d’entre eux, dont des hommes et des femmes, avaient des ancêtres typiques de l’Asie du Sud contemporaine ; leurs restes ont été déposés au lac entre le VIIe et le Xe siècle, et pas tous en même temps, certains squelettes étant plus anciens que d’autres.
Peut-être 1.000 ans plus tard, entre le XVIIe et le XXe siècle, deux autres groupes génétiques seraient apparus soudainement dans le lac: un individu d’ascendance est-asiatique et, curieusement, quatorze personnes d’origine est-méditerranéenne.
Il n’y a aucune preuve d’infection bactérienne, donc une épidémie est à exclure. L’environnement difficile en haute altitude s’est peut-être avéré fatal. L’étude précédente, portant sur cinq échantillons de squelettes, en a trouvé trois présentant des fractures par compression non cicatrisées, peut-être causées par d’énormes grêlons, mais cette conclusion fait débat. Quoi qu’il en soit, “il est difficile de croire que chaque individu est mort exactement de la même façon”, a déclaré Éadaoin Harney, étudiant au doctorat à Harvard et auteur principal de l’étude. Le mystère reste entier…
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