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Par Tyron29 le 8 Septembre 2008 à 13:39
L’EXPERIENCE DE PHILADELPHIE
uss eldridge
Au mois d’avril 1973, j’ai eu le plaisir de rencontrer Francis MAZIERE, des éditions LAFFONT (collection des livres noirs) pour des renseignements sur l’île de Pâques, très grand spécialiste en la matière. Après ce contact favorable Francis m’a fait part d’un courrier reçu quelques semaines plutôt au sujet d’un projet de livre sur l’expérience de Philadelphie de 1943, aux éditions Laffont. Envoyer par l’association du Docteur Manson Valentine, archéologue, et océanographe. Mason Valentine qui est le dernier ami de JESSUP, principal investigateur de Philadelphie. Les éditions Laffont ont refusé d’une façon catégorique la réalisation de cet ouvrage. Francis MAZIERE, m’a confié aussi certains écrits sur ce sujet.
Je vais aujourd’hui retracer les grandes lignes de cette expérience.
Le docteur Morris Jessup, le fameux astronome est très grand scientifique, fut en relation avec le bureau de la Recherche Navale. D’après Jessup, l’expérience de Philadelphie était une opération secrète conduite par la Marine nationale U.S.A… à Philadelphie et en mer, en 1943.<o:p></o:p>
Elle avait pour objectif de vérifier l’effet d’un courant magnétique produit sur un bâtiment de surface pourvu de son équipage. En pratique voilà comment elle s’applique : un champs électrique crée dans un solénoïde fait naître un champ magnétique à angle droit du premier, chacun de ces champs représentant un plan de l’espace. Mais étant donné qu’il existe trois plans d’espace, il doit y avoir un troisième champ, peut-être gravitationnel. En relayant les génératrices électromagnétiques en vue de produire une pulsation magnétique, il peut être possible de créer ce troisième champ grâce au principe de résonance. Jessup croyait que la Marine Nationale des U.S.A , en avait eu connaissance par hasard, à la suite d’une expérience en temps de guerre, menée à bord d’un contre-torpilleur (USS ELDRIDGE), laquelle a pris le nom d’expérience de Philadelphie.
Les résultats se révélèrent stupéfiants et d’une grande portée bien qu’ils aient eue des effets secondaires néfastes sur l’équipage. Dès le début de l’expérience, une lueur verte, vaporeuse, se manifesta, assez semblable à celle dont font état les survivants d’incidents survenus dans le triangle des Bermudes, qui évoquent un lumineux brouillard verdâtre. Bientôt, l’ensemble du navire fut submergé par cette étrange brume et le bâtiment, ainsi que son équipage, commença à disparaître à la vue de ceux qui se trouvaient sur la quai jusqu’à ce que, seule, la ligne de flottaison fût visible. Ultérieurement, le contre-torpilleur fut signalé comme ayant apparu et disparu à NORFOLK ! (<st1:metricconverter w:st="on" productid="320 km">320 km</st1:metricconverter>) pour revenir à Brotherly Love, ou il était amarrer. Peut-être le résultat d’un essai d’invisibilité, comportant une certaine similitude avec le phénomène de déviation du temps. Un ancien membre de l’équipage a rapporté que l’expérience fut réussie en mer les derniers jours d’octobre 1943, avec un champ effectif d’invisibilité de forme sphérique s’étendant sur cent mètres de chaque bord qui laissait entrevoir le dépression causée par le bateau dans l’eau, mais pas le bâtiment en soi.
Avec l’intensification du champ de force, certains membres de l’équipage commencèrent à disparaître ; ceux-ci ne purent être retrouvés que grâce au contact physique et ils ne redevinrent visibles que par l’intervention d’une technique relevant de l’imposition des mains.<o:p></o:p>
Certains autres s’éloignèrent à tel point de leurs dimensions matérielles initiales qu’ils ne purent être détectés et ramenés à la normal qu’à l’aide d’un dispositif électronique spécial. Pour de tel cas, lorsqu’un compagnon de bord ne pouvait plus être vu ou senti, l’équipage usait d’une expression curieuse ; (il est figé dans la mélasse). En vérité, il s’agissait d’un état d’inertie momentané auquel il était souvent difficile d’arracher le sujet. Des rumeurs circulèrent assurant que des hommes avait été hospitalisés, que certains étaient morts et d’autres souffraient de dérangements mentaux. D’une façon générale, les capacités physiques semblaient avoir été aiguisées, alors que chez certains hommes les effets de la transmutation dus à l’expérience se perpétuaient ; ils disparaissaient provisoirement et réapparaissaient tandis qu’ils se trouvaient chez eux, dans la rue, ou qu’ils étaient assis dans des bars ou dans des restaurants à la stupeur de ceux qui les entouraient. A deux reprises, l’habitacle du navire fut la proie des flammes pendant son remorquage vers la terre. Nous ignorons si Jessup, a été témoins des événements qu’il a rapportés, mais nous savons qu’il s’est livré à des recherches très approfondies. Il faut garder à l’esprit qu’il n’avait rien de l’écrivain versant dans le charlatanisme, mais qu’il était un homme de science éminent, et un astronome célèbre. Il s’était vu confier le grand télescope électronique de l’hémisphère Sud. Jessup s’intéressa a nouveau à l’expérience de Philadelphie, lorsqu’un homme, nommé Carlos Allende qui prétendait être un survivant de l’expérience, lui écrivit en 1956 au sujet de son ouvrage, (Les cas des OVNI), en raison de la similitude des théories de base. Comme tout auteur qui se respecte, Jessup lui répondit. Quelque temps après le début de cette correspondance, Jessup fut convoqué à Washington par l’Office des recherches Navales. Il est bon de rappeler que la censure avait étouffé tout ce qui se rapportait à l’expérience de Philadelphie, mis à part un bref article paru dans le journal local. On présenta à Jessup un exemplaire de son livre largement annoté à la main, volume qui s’était mystérieusement matérialisé à l’office des recherches navales ; les notes avaient trait à ses théories, à l’expérience de Philadelphie et aux activités des OVNI. Et des renseignements effectués par ces êtres. On demanda à Jessup s’il reconnaissait les écritures, apparemment dues à trois personnes distinctes, chacune d’elles ayant identifié ses remarques par des initiales. Il crut reconnaître dans l’une des inscriptions et le paragraphe qui suivait celle d’Allende et il communiqua les lettres de ce dernier à l’office.<o:p></o:p>
Ultérieurement, le ministère de la Marine donna ordre de faire reproduire par l’un de ses services du Texas, vingt-cinq copies exactes du livre annoté dont les remarques figuraient en rouge, Jessup, qui reçut trois exemplaires, fut informé que les autres copies étaient réservés à l’échelon le plus élevé du ministère. Officiellement la Marine ne reconnut jamais quoi que ce soit ait trait à l’expérience de Philadelphie, mais elle ne s’en intéressait pas moins à l’ouvrage. Elle fit savoir à Jessup que l’office avait essayé de retrouver la trace d’Allende, mais en vain et qu’aucune personne ayant annoté le livre n’avait été identifié.
LES THEORIES DE JESSUP
Pour lui la théorie du champ unitaire d’Einstein, qui incorpore les champs gravitationnel et électromagnétique à la théorie espace-temps est vraie. Il est admissible d’entrevoir que les champs magnétiques, s’ils sont suffisamment puissants, pourraient effectivement conduire objets et individus à changer de dimension et par là même, à devenir invisibles. Jessup était convaincu qu’une censure officielle a étouffé un bon nombre de rapports importants. Son dernier ouvrage, publié juste avant sa mort, concernait les allusions bibliques aux « soucoupes volantes ». Et il s’intéressait aussi à la manière dont le magnétisme contrôlé, pourrait produire l’invisibilité, prolongement de la théorie du « champ unitaire » d’Einstein, que Jessup estimait être la clef du mystère concernant les subites apparitions et disparitions d’OVNI.
POURQUOI JESSUP S’EST-IL SUICIDE ?
S’il y a eu suicide, celui-ci était vraisemblablement dû à un état d’extrême dépression. La Marine lui avait proposé de continuer ses recherches concernant l’Expérience de Philadelphie et d’autres projets de cet ordre, mais il avait refusé, redoutant les dangereuses ramifications que comportaient de telles études. Par ailleurs, il avait été très sensible aux critiques dirigées contre son ouvrage par le monde scientifique et universitaire. Le docteur Valentine l’invita a dîner, qui l’attendit en vain. Jessup mourut dans sa voiture garée à Dade Country Park, asphyxié par l’oxyde de carbone, le pot d’échappement ayant été relié à un tuyau débouchant à l’intérieur du véhicule. Vraisemblablement en raison de l’insistance portée par Jessup sur certains aspects de l’intervention d’autres mondes dans les affaires de notre planète. Beaucoup de personnes estiment que sa mort ne fut pas un suicide. Le secret de l’Expérience de Philadelphie disparu avec lui. Mais bien des questions restent encore sans réponses.
La taverne de l'étrange- 8 septembre 2008
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Par Tyron29 le 13 Mai 2007 à 22:23LES CHEMTRAILS ou sillons de la mort !
Des rapports circulent depuis des années sur des tracés anormaux que certains avions laissent derrière eux et qui remplissent le ciel de nuages. Presque personne dans le monde ne s'en soucie. C'est comme si les gens avaient cessé de lever les yeux en l'air. Aujourd'hui nous sommes tellement habitués à voir ces étranges traînées dans le ciel, que nous pensons qu'elles sont naturelles et qu'elles ont toujours existé. Et oui, comme si nous étions tous frappés d'une mystérieuse amnésie... Pourtant, faites un effort, essayez de vous souvenir...
la première fois que vous avez repéré ces tracés gigantesques dans le ciel, c'était quand ?... il y a 30 ans ? 20 ans ? 10 ans ? 5 ans peut-être ?...
CHEMTRAILS, les sillons de la mort...
... et dire que vous ne vous étiez jamais posé la question ! dire que vous pensiez vivre depuis toujours avec ça au-dessus de la tête...! Souvenez-vous ! Il n'y a pas si longtemps ! Lorsque les premiers chemtrails apparurent dans le ciel, vous pensiez pourtant qu'il s'agissait de nuages rectilignes... C'est comme dans le film " Dark City ", tout le monde connaît la route qui mène à la plage, tout le monde pense y être déjà allé plusieurs fois, mais personne ne parvient à retrouver le chemin au moment de devoir l'emprunter. De même, les personnages du film sont tellement habitués à vivre dans la nuit qu'ils ne se posent même plus la question : " Depuis quand n'ont-ils pas revu le soleil ? " Ici un clin d'oeil aux sillons de la mort dans le film " Cars ", film d'animation de 2005 des studios Pixar.
Ici les chemtrails dans le film...
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Plus d'info dans la Revue Top Secret N° 5 ( Un grand dossier y est dédié ).
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Par Tyron29 le 23 Décembre 2006 à 17:05
Maudit à jamais
Le diamant "Hope"
Certains trésors du passé possèdent-ils le pouvoir de tuer leurs malheureux propriétaires ?Les biens maudits entraînant le malheur et la mort de leurs propriétaires alimentent depuis toujours les histoires d’horreur. Des objets inanimés peuvent-ils réellement jeter un mauvais sort à ceux qui les convoitent ? Ou bien leur pouvoir apparent ne réside-t-il que dans l’esprit d’individus animés d’un terrible sentiment de culpabilité ?
Aujourd’hui, la malédiction possède à peine plus de force qu’une parole méchante, mais il y eut des époques où l’on pensait que les anathèmes étaient capables de jeter un mauvais sort entraînant le malheur, voire la mort. Beaucoup constituaient des instruments de vengeance dirigés contre ceux qui s’étaient emparés par la force de ce qu’ils convoitaient. D’autres malédictions jouaient une fonction protectrice. En renforçant certains tabous, elles permettaient à l’Eglise et à l’Etat de préserver leurs trésors. La fabuleuse richesse qui, dit-on, se trouve enfouie avec les pharaons égyptiens est protégée par une malédiction. Depuis l’ouverture et le pillage des premiers tombeaux par des explorateurs occidentaux, les histoires d’objets maudits poursuivant leurs victimes par-delà la tombe abondent.
Une des plus célèbres de ces malédictions concerne le couvercle apparemment « hanté » d’un sarcophage appartenant au British Museum. Découvert dans les années 1860, il semble avoir été le cercueil d’une prêtresse thébaine d’Amen-Ra. Il avait la réputation d’apporter la malchance à tous ceux qui le touchaient. L’histoire veut que l’un des premiers propriétaires du couvercle, Douglas Murray, perdit un bras dans un accident de chasse peu de temps après l’avoir acheté. Le couvercle fut ensuite emprunté par une journaliste londonienne qui, presque aussitôt, vit mourir sa mère, rompit ses fiançailles et contracta une maladie étrange.
*** La malédiction de la momie ***
Les méfaits de ce porte-malheur macabre se poursuivirent après la donation du couvercle au British Museum par D. Murray. Un égyptologue trouva la mort alors qu’il en étudiait les inscriptions et un photographe produisit une série de clichés où l’on voyait, prétendait-il, le visage paisible peint sur le dessus se tordre avec malice. Dans les années trente, le sarcophage avait acquis une réputation mondiale et les donations affluèrent, ainsi que des requêtes pour que des fleurs soient déposées près de lui. Le British Museum se sentit obligé de nier toutes les rumeurs de malédiction, mais d’autres récits de morts étranges sur les sites de fouilles archéologiques continuèrent à alimenter les spéculations les plus diverses sur le contenu des tombeaux des pharaons et sur leur protection par des malédictions macabres. Bien que passionnantes, la plupart de ces histoires sont totalement fantaisistes. Les égyptologues pensent aujourd’hui que les malédictions inscrites sur les murs des chambres funéraires des pyramides constituaient un avertissement destiné aux responsables de leur entretien. Par ailleurs, la science a établi un lien entre la mort des premières personnes qui entrèrent dans les tombeaux et la présence dans ceux-ci de bactéries inconnues, enfermées là depuis l’Antiquité.
*** Des crânes hantés ***
En revanche, d’autres histoires d’objets ensorcelés semblent défier toute explication rationnelle. Parmi les nombreux récits de reliques maudites ayant provoqué le malheur de leurs propriétaires, plusieurs cas de crânes « hantés » ont été enregistrés par le chasseur de fantômes Robert T. Hopkins. Parmi les plus célèbres, figure l’histoire du crâne de William Corder, le meurtrier de la Grange Rouge qui trouva la mort avec sa maîtresse à Polsted, en Angleterre, en mai 1827. Quelque cinquante ans après son exécution, les restes du cadavre de Corder devinrent la propriété d’un certain Dr Kilner. Celui-ci sépara le crâne du squelette, polit l’os pour le rendre brillant et exhiba fièrement son trophée macabre dans sa clinique. Kilner se vantait de sa vision scientifique du paranormal. Ceci ne l’empêcha pas de voir sa vie bouleversée par des évènements étranges. Tout d’abord, sa bonne et lui aperçurent un étranger portant un costume victorien aux abords de la clinique.
Puis, le docteur fut sans cesse importuné par des bruits de respiration et de murmures. Enfin, il fut réveillé une nuit par des craquements venant de la pièce en-dessous. En descendant les escaliers, le docteur sentit un vent glacé. La porte de son cabinet était ouverte. Il y pénétra et trouva la boîte qui contenait le crâne brisée ; celui-ci, transporté sur une étagère, ricanait méchamment. Les recherches prouvèrent que personne n’avait pu pénétrer dans le bureau. Le médecin terrifié rendit les restes du criminel au père de Robert T. Hopkins qui leur fit donner une sépulture chrétienne. Les troubles cessèrent aussitôt.
*** La veste de l’étrangleur ***
Thora Hird
Les crânes ne sont pas les seuls objets à attirer de mystérieuses forces maléfiques. Un objet aussi banal qu’un vêtement peut se transformer en porte-malheur, comme par exemple la veste en forme de boléro qui appartint au théâtre du duc d’York, à Londres, et surnommée « la veste de l’étrangleur ». En 1948, l’actrice comique Thora Hird apparut sur scène revêtue de cette veste. Au bout de quelque temps, elle fut horrifiée de découvrir que celle-ci rétrécissait à chaque représentation, à tel point qu’elle l’étouffait. Lorsque la doublure de Hird eut fait la même expérience, les autres membres de la troupe essayèrent la veste à leur tour : les résultats furent identiques. Un acteur faillit en mourir et la femme du directeur garda des marques rouges autour de la gorge.
On ne connaissait pas alors l’histoire de ce vêtement et aucune explication à ces faits étranges ne put être fournie, jusqu’à ce que la veste fut enfin reliée au meurtre brutal d’une jeune fille qui avait été noyée par un amant jaloux, porteur de la veste en question, dans une bassine d’eau. Que des objets comme la veste de l’étrangleur contiennent des forces psychiques ou qu’ils focalisent les peurs de leur propriétaire est une question qui demeure sans réponse. Il est certain, toutefois, que plus les objets sont rares et précieux, plus les malédictions qui les entourent sont sinistres.
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Le diamant Hope, une des nombreuses pierres précieuses à avoir suscité des récits pittoresques, aurait coûté la fortune et la vie à son premier propriétaire. Par la suite, il fut lié aux messes noires du XVIII ème et à la malheureuse reine Marie-Antoinette. Plus récemment, la pierre a été associée au suicide, au meurtre ou à la faillite de ses divers propriétaires et un sultan aurait perdu son trône à cause d’elle. Mais, depuis qu’elle se trouve à la Smithsonian Institution de Washington, elle n’a porté préjudice à personne. La malédiction aurait-elle pris fin ou n’a-t-elle jamais existé ailleurs que dans l’imagination de certains ?
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http://www.dinosoria.com/crane_cristal.htm
http://81032.aceboard.fr/81032-2111-2549-1-crane-cristal.htm#id68746
La taverne de l’étrange- 23 décembre 2006
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Par Tyron29 le 19 Mars 2006 à 12:57
Ca bouge dans les cimetières
En France, 4% des « morts » serait enterrés vivants !!!
Un jour de 1972, dans un cimetière de la région parisienne, des fossoyeurs perçoivent soudain des bruits sourds provenant d'une tombe. Celle-là même où, la veille, ils ont descendu un cercueil. La police est aussitôt alertée. Pourtant, après vérification, il savère que le mort est bien mort. Alors ? Hallucination collective ou dernier appel désespéré d'un enterré vivant ? Personne ne le saura jamais Toujours est-il malgré les progrès de la science, le risque dêtre enterré par erreur, alors qu'on n'est pas encore mort, existe. C'est ce qu'affirme le docteur Peron-Autret dans son livre Les Enterrés Vivants, publié aux éditions Balland. Ce risque, il l'évalue, en France, à 4% des inhumations !
Etre enterré vivant était une des grandes peurs du Moyen-Age. Du reste, les croque-morts doivent leur nom au fait quils mordaient un orteil du défunt pour s'assurer quil était bien mort. Et récemment encore, les notaires découvraient dans les testaments des dernières volontés pour le moins surprenantes, du style : « Je veux quon me brûle la plante des pieds avec une bougie » ou « jexige quon me transperce la main avec une aiguille à tricoter avant de me mettre en bière » .
Si, autrefois, les plus fortunés demandaient à ce quon installe des clochettes dans leur cercueil au cas où ils se réveilleraient, certains, aujourd'hui, nhésitent pas à se faire enterrer avec leur téléphone ! Pour ne plus avoir quà décrocher et éventuellement prévenir quils sont « ressuscités » ! De nombreux G.I américains nont malheureusement pas eu cette chance. Enterrés vivants, personne na jamais entendu leurs appels. En ouvrant les cercueils pour procéder à diverses formalités lors du transport aux Etats-Unis, on a alors constaté dans de nombreux cas que le corps avait bougé. Mais il y a pire encore, certains avaient dévoré leur linceul et leurs mains ! Toutes choses quon a retrouvées dans leur estomac. Preuve qu'ils ont été absorbés et digérés par un organisme encore en vie.
Pour le docteur Peron-Autret comme pour dautres scientifiques, il est probable également que Napoléon a été enterré vivant.
Lorsque, douze ans après sa mort, on a ouvert son cercueil après l'avoir transféré en France, son corps était dans un état de parfaite conservation. Explication ? Lempereur prenait beaucoup de bains chauds dans des baignoires de plomb, très riches en arsenic, et il buvait leau dun seau, également en plomb. Il aurait donc été intoxiqué par larsenic et le plomb qui, comme dans le cas dabsorption massive de barbituriques, laissent les sujets dans un état de survie imperceptible et peuvent donc favoriser un diagnostic erroné de la mort. Les enterrés vivants ne sont pas là pour parler. Mais il y a ceux qui ont failli l'être et ne doivent leur salut quà la vigilance, à lobstination de quelques personnes, mais aussi- et surtout- à la chance. Tous ont été déclarés morts par un ou plusieurs médecins. Le permis d'inhumer a été signé. Si certains se sont réveillés à la morgue, d'autres ont bien failli être réfrigérés ou autopsiés vivants.
A Moissac, dans le Tarn-et-Garonne, un ouvrier victime de deux accidents à trente et un ans dintervalle a été déclaré mort dans les deux cas. Chaque fois, il est revenu à lui quelques instants avant dêtre mis en bière. La première fois, le froid la fait éternuer. La seconde, cest la faim qui la sauvé. En ouvrant les yeux, le mort-vivant a en effet réclamé à manger. En 1988, la revue Ici Paris avait rencontré Michel Delepine, le « mort-vivant de Mons », en Belgique.
« Je ne me souviens de rien, nous avait-il confié, allongé sur son lit dhôpital. Cest comme si jétais tombé dun arbre » Ce coiffeur de 33 ans revenait de loin. Condamné trois fois « à mort » par les médecins qui voulaient l'enterrer, il avait été sauvé par la vigilance, lexpérience et lobstination du croque-mort de son village, persuadé quil y avait encore en lui un souffle de vie. A lhôpital, on navait pu que constater le décès du malheureux.
L'électrocardiogramme et l'électroencéphalogramme étaient désespérément plats. Cependant, on avait décidé de faire des examens complémentaires le lendemain. Miracle : 24 h après, les écrans affichaient des courbes régulières. Michel Delepine était vivant ! Pour le médecin chef du service des soins intensifs de cet hôpital, il sagit là dun cas exceptionnel dhypothermie. Un phénomène de vie au ralenti, observé dans certains cas de refroidissement, dintoxication, par exemple. Mais les signes cliniques étaient bel et bien ceux de la mort !
La meilleure solution pour éviter d'enterrer une personne vivante est donc de prolonger lexposition du sujet avant de la mettre en bière. De pratiquer un électroencéphalogramme voire deux, à plusieurs heures dintervalle. Mais encore faut-il se trouver en milieu hospitalier. En raison du coût, cet examen ne se justifie que pour les comas dépassés et quelques autres cas. Néanmoins, pour être certain dun décès, il existe dautres méthodes fiables à 100 %.
A commencer par l'artériotomie, par exemple, qui consiste à inciser légèrement une artère. Si elle saigne, le sujet vit. Sinon Voilà pour cet article qui fait froid dans le dos, le chiffre de 4% est sûrement exagéré, mais le phénomène est bel et bien réel et existe
La taverne de l'étrange- 19 Mars 2006
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Par Tyron29 le 7 Janvier 2006 à 13:25
Les crânes allongés sont-ils d'origine extraterrestre ?
La terre a-t-elle abrité dans des temps reculés une race d'extraterrestre qui se distingue par une forme de crâne particulièrement allongée et proéminente ? C'est ce que laisse penser la découverte par des archéologues de dessins datant de 70 millions d'années sur des pierres d'Amérique du Sud. Ces pierres, que l'on appelle Iki, représente des personnes dont la tête est clairement disproportionnée, une apparence que l'on peut retrouver sur certains squelettes non identifiés du Caucase russe. D'autres recherches archéologiques ont déterré des squelettes similaires en Europe, notamment en France et en Norvège, ainsi qu'en Asie Centrale. Compte tenu des énormes distances qui séparent tous les lieux de découvertes, on peut s'interroger sur la provenance exacte de ces crânes démesurés.
Plus étrange encore, les crânes allongés présentent également une particularité incroyable : un petit trou au niveau de la couronne crânienne, dont les bords sont extrêmement nets. Le célèbre archéologue Lloyd Pye, affirme avoir étudié de près un des spécimens, trouvé en 1930 au Mexique : " j'ai fait un test ADN sur les os dans 2 laboratoires différents. Et il est clair que certains segments d'ADN sont différents de ceux des humains "... L'archéologue souligne que certaines peuplades ont voulu il y a quelques siècles imiter cette particularités physique en plaçant des cordes très serrées sur le crâne des enfants en bas âge. " Cette mode prouve que des humains ont voulu imiter des étrangers qui possédaient un squelette différent du leur " précise l'archéologue, auteur du pertinent ouvrage " Tout ce qu'on vous a appris est faux ".
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