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Par Tyron29 le 20 Septembre 2007 à 12:01
DES VAISSEAUX SPATIAUX AURAIENT VRAIMENT VISITE LA TERRE<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
On trouve confirmation dans létonnant document scientifique quest la Bible !
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Un faisceau laser participe au spectacle de très grande qualité artistique qui est organisé dans des églises comme Saint-Eustache à Paris. Ce faisceau laser, multiplié par plusieurs générateurs, créé un spectacle lumineux animé qui soutient le texte de lAncien Testament. Cette conjonction de lun des plus vieux textes sacrés du monde et dune des inventions les plus modernes de notre époque a quelque chose de symbolique. En même temps quelle marque un juste retour des choses. La Bible fut, en son temps, un extraordinaire document de science-fiction et de futurologie. Regardez à la loupe et même au microscope, la Bible ne cesse dêtre étonnante, par la précision des descriptions se rapportant à certains objets qui évoquent quelque autre civilisations ayant précédé de nombreux siècles, et peut-être même de nombreux millénaires, nos propres civilisations du Bassin méditerranéen. Des équipes de chercheurs scientifiques se sont mis, précisément, à létude de la Bible sefforçant dy découvrir des indices qui aideraient à expliquer telle ou telle énigme du vieux livre sacré ! (Il est dommage que des éléments manques volontairement dans les manuscrits). Par exemple, le physicien russe M. Agrest a déblayé tout ce qui se rapporte à Sodome et à Gomorrhe.
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Ses conclusions sont fantastiques ! A lorigine de la recherche dAgrest, il y a lénigme de la terrasse de Baalbeck : lancienne Héliopolis, un des hauts lieux de lhistoire humaine. Cest aujourdhui un prodigieux ensemble de ruines et de temples. Les neuf colonnes de Baalbeck sont encore maintenant les plus hautes du monde. On y voit encore le temple de Bacchus, avec son magnifique fronton. La terrasse de Baalbeck, elle-même est absolument étonnante. Des blocs de pierres gigantesques ; certains dentre eux dépassent 21 m de longueurs. Il y a là une pierre que lon considère comme la plus grande taillée de lunivers. Elle pèse 2000 tonnes. Cest « la Pierre du Sud ».
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LENIGME DE LA TERRASSE DE BAALBECK
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Comment fut-elle hissée jusque-là ? Mystère. Même actuellement, avec nos puissants appareils de levage, on serait tout à fait incapable de monter une telle masse de la carrière où elle fut jadis extraite. Comment fut donc édifiée cette terrasse de Baalbeck, aux pierres gigantesques ? Avec quels engins ? En recourant à quelles techniques ? Autant de questions qui restent pour le moment encore sans réponse. Le professeur Agrest est fasciné. Très vite, le mathématicien a calculé quil aurait fallu au moins 20.000 hommes, unissant leurs forces, pour déplacer de tels blocs. Mais pourquoi construire un tel dallage, un sol artificiel aussi compact et majestueux ? Est-ce aux alentours que lon va découvrir les réponses à ces questions ? Oui, car le paysage est grandiose, austère.
Pourtant, Agrest y découvre des indices extrêmement intéressants : de petits morceaux de verre. Plus exactement des fragments de roches vitrifiées. Ce sont des fragments de roches vitrifiées, noirâtres, qui vont créer la sensation, au sein de ces tectites. On découvre des traces de radioactivités, notamment du béryllium. Lénigme de Baalbeck se complique. Quest donc cette radioactivité ainsi gardée en mémoire ? Le professeur Agrest décide de lire tout ce qui a été écrit concernant cette contrée fabuleuse. Il commence par les manuscrits de la mer Morte, que vient de publier un orientaliste américain. Dès les premiers chapitres, cest la stupéfaction ! Il lit « Les êtres venus du Ciel vivaient sur la Terre, en ces temps là Et même après, lorsque les fils de Dieu vinrent » Plus loin, les textes sacrés racontent la fin de Sodome et Gomorrhe. Avant la catastrophe, deux anges sont venus chez Loth, et lui ont dit quil devait senfuir, et surtout ne pas se retourner.
Il plut sur Sodome et Gomorrhe du soufre et du feu, Loth vit la fumée du pays, comme la fumée dune fournaise. La femme de Loth regarda en arrière, et devint une colonne de sel. Le professeur Agrest est lancé sur une piste quil pressentait. Il se sent persuadé davoir débusqué lexplication tant recherchée. Pendant des mois, le physicien russe va noircir du papier. Finalement, il écrit le mot fin en bas de 600 lignes de textes. Dans les milieux scientifiques, la « bombe Agrest » et diversement reçue. Quel que soit le sentiment daccueil, la thèse dAgrest se présente ainsi : en ce temps-là, Abraham sétait établi à lombre des chênes de Mamré ; son frère Loth faisait paître ses troupeaux dans la plaine qui sétend devant Sodome. Ce fut alors que des « êtres venus du ciel » auraient débarqué dune sorte de bateau volant. Alors Agrest pense à laire datterrissage de Baalbeck. Il brode tout un récit fantastique. Baalbeck devenant la base de débarquement sur la Terre ces « êtres venus du ciel ». Pour quelle raison y eut-il la catastrophe de Sodome et Gomorrhe ?
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Accident, expédition punitive ? Qui pourrait le dire un jour ? Josef Blumrich, savant américain dorigine autrichienne, a écrit une revue de science pour lUNESCO, à lépoque, particulièrement remarquable sur les fameux vaisseaux spatiaux, que le professeur Agrest a imaginés, par le truchement des textes sacrés. La description en est saisissante, elle vient à lappui des hypothèses favorables à la venue, jadis de visiteurs extraterrestres.<o:p></o:p>
Plus de détails sur le professeur Agrest, voir le livre « Le Peuple du ciel ». Edition Jai Lu. 74
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2 commentaires -
Par Tyron29 le 11 Septembre 2007 à 10:49
Voilà un article intéressant datant de 1946 dans le quotidien LEtoile du soir. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
*** Un homme a failli se tuer au fond dun gouffre pyrénéen***<o:p></o:p>
Jai suivi un homme qui a choisi la date anniversaire de la cessation des hostilités en Europe pour découvrir un message caché dans un gouffre inexploré. Qui est-il ? Doù vient-il ? Je lignore. Je veux assister tout simplement à un exploit sportif peu ordinaire dun inconnu et laider dans une descente qui peut être mortelle. Nous sommes quatre, trois paysans et moi. A le suivre dans lascension du pic de Cambeillon où se trouve lentrée du gouffre. Nous gravissons des sentiers rocailleux et abrupts, traversons des prés, escaladons des rochers, passons à gué de petits ruisseaux. Le chemin devient de plus en plus rude à lapproche du Cambeillon. Le soleil brille. Une brise légère nous rafraîchit. Nous sommes silencieux et recueillis. Un homme joue sa vie non pas par intérêt, mais avec cette idée toute simple que de sa réussite dépend lavenir du monde. Cet inconnu est arrivé ici guidé par sa foi. Il est passé par Paris, Nice, Nîmes, Perpignan, Toulouse, Albi, pau et, finalement Oloron-Sainte-Marie.<o:p></o:p>
*** LE TRESOR DES MAURES ***<o:p></o:p>
Il dédaigne trois gouffres pour sarrêter devant un quatrième que personne ne connaissait dans la région. Il ne sest pas soucié de cette légende locale, transmise dEsquiül à Barcus, à la veillée, quil existe dans lune des grottes un trésor qui aurait été déposé par des Maures il y a dix siècles. Depuis, toutes les tentatives qui ont eu lieu pour le récupérer ont été vouées à léchec. Un prêtre, avant de mourir, navait-il pas confié à ses ouailles trop curieuses : « Ce trésor est sacré. Nul ne pourra le récupérer quaidé de Dieu. » Un radiesthésiste affirma, en 1938, quil y avait de lor. Il entreprit des recherches en compagnie dun ingénieur, fit sauter à la dynamite des galeries souterraines. Un matin, il refusa le concours de son compagnon, partit seul et ne revint plus. Quant au gouffre sans nom, dissimulé par les ronces et des orties à flanc de colline, nul ne sy était aventuré. Le messager de Douaumont le découvrit le 19 décembre 1945, dans la nuit et sous la pluie. Deux fois, il descendit dans ces profondeurs, au péril de sa vie.<o:p></o:p>
*** LA DESCENTE DANS LE GOUFFRE ***<o:p></o:p>
Aujourdhui ( mai 1946 ), il recommence cette périlleuse exploration. Avant daccéder au gouffre, nous pénétrons dans une grotte. A laide dune corde, nous descendons une quinzaine de mètres avant datteindre la première plate-forme. Lhumidité et le froid nous pénètrent. Nous devons ensuite ramper pour atteindre louverture du gouffre. Nous préparons les cordes qui doivent servir à la descente de lhomme. Une ouverture béante, une cheminée profonde, étroite et lisse Le mystère est là, à soixante mètres sous terre. De grosses araignées courent le long des roches rongées par lérosion. Une chauve-souris, affolée par la lumière, virevolte au-dessus de nos têtes. La descente commence. Personne na le courage de parler. Lui seul commande la manuvre dune voix tranquille : « Laissez couler la corde Arrêtez !... Continuez !... Stop !... Mentendez-vous ? » Quelques pierres se détachent, tombent dans les profondeurs avec bruit. Quelques secondes après, lécho de leur chute se répercute lugubrement. De grosses mouches nous assaillent. Nous sommes transis. Pourtant il faut rester. Au bout dune corde, nous tenons la vie dun homme. Je sors, nen pouvant plus. Lair est devenu trop rare. Les jeunes Basques sont restés. Ils tiennent la corde, mais le manque de lumière les effraye. - Remontez !... Remontez !...- Cest fini sauvez-vous ! dit lindividu dune voix étouffée. Mais les paysans veulent sauver lhomme malgré le danger, malgré lui.<o:p> </o:p>
*** LA PAIX REGNERA SUR LE MONDE ***<o:p></o:p>
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Je suis dehors, inquiet et impatient. Après une attente interminable, les quatre hommes apparaissent enfin, lun derrière lautre, exténués, haletants, les traits tirés. Mais linconnu est heureux. Lexploration a réussi. Le gouffre continuera de garder son secret <o:p></o:p>
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La taverne de létrange- 11 septembre 2007
2 commentaires -
Par Tyron29 le 4 Septembre 2007 à 11:26
CES ETRANGES PERSONNAGES QUI ONT VOYAGE DANS LE TEMPS
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<o:p> </o:p>C'est le rêve de tous les hommes depuis le début de l'humanité : voyager dans le temps, revivre les grands moments qui ont marqué notre histoire dans le passé ou, au contraire, se propulser dans l'avenir pour essayer de savoir se qui nous arrivera dans cent, deux cents ou deux millions d'années.<o:p></o:p>
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Le célèbre romancier H.G. Wells avait déjà imaginé une machine à explorer le temps en 1895 et ce thème a été repris, depuis par tous les grands auteurs de science-fiction. Ray Bradbury invente ainsi un héros qui peut se mouvoir à volonté dans le passé et le futur. Celui de Barjavel dans « Le voyageur imprudent » entend même agir sur les événements du passé. Et au siège de Toulon, il essaye de tuer la jeune Bonaparte pour changer le cours de l'histoire. Dans la réalité peut-on vraiment se promener dans le temps comme on le fait dans lespace ? Certains répondent que oui.
Ces médiums, tout d'abord, ont parfois la faculté de revivre les événements du passé. Ils sont alors des psychomètres. Découverte à la fin du siècle dernier, la psychométrie souleva d'enthousiasme de nombreux savants. Et, de ce fait, en voyageant dans le passé, des médiums ont aidé à des découvertes historiques. Miss Beaumont, une jeune Anglaise, plus connue par son surnom de médium Rosemary, revivait ainsi à loisir la vie de la cour du Pharaon Amenhotep III, qui vécut 1500 ans avant notre ère. En décrivant les coutumes de ce temps, elle donna une foule de renseignements précieux à un fameux égyptologue, Howard Hulme. Certaines personnes qui ne sont pas médiums réussissent parfois à dépasser aussi les barrières du temps, sans le vouloir. Le cas le plus célèbre de ces voyages extraordinaires est laventure arrivée dans le parc de Versailles, le <st1:date day="10" ls="trans" month="8" w:st="on" year="19">10 août 19</st1:date>01, à deux Anglaises, miss Moberly et miss Jourdain. Les deux femmes se promenaient, cet après-midi-là, dans le parc, avec lintention de visiter le petit trianon. Elles se trouvèrent alors en présence de deux hommes portant de longs manteaux et de curieux tricornes. Devant le Petit Trianon une jeune femme dessinait. Elle portait un grand chapeau gris clair posé sur de longues boucles. Un homme leur dit alors de ne pas rester là, il leur indiqua un chemin et, soudain, les deux femmes se retrouvèrent dans leur univers quotidien. La sensation doppression disparut et elles croisèrent de nouveaux les visiteurs du XXe siècles. On sut, après enquêtes, que la vision des deux femmes correspondait parfaitement à létat où se trouvait le Petit Trianon en 1770 ? Et la jeune femme qui peignait était certainement la reine Marie-Antoinette. Ce jour daoût 1901 miss Moberly et miss Jourdain avaient fait un curieux bond dans le passé. D'autres individus, eux, ont tout aussi fortuitement fait une incursion dans le futur.
* Un Anglais nommé M.P. Schiel a publié, en 1896, une nouvelle qui racontait la terreur répandue dans toute l'Europe par une bande de monstrueux criminels qui saccageaient, tuaient et brûlaient les cadavres : « les SS ».<o:p></o:p>
* L'écrivain américain Morgan Robertson, en 1898, quatorze ans avant le naufrage du TITANIC, racontait la catastrophe survenue à un super-transatlantique nommé le Titan. Tout concordait dans le récit avec ce qui serait la véritable tragédie.<o:p></o:p>
* Le <st1:date day="7" ls="trans" month="12" w:st="on" year="19">7 décembre 19</st1:date>39, un habitant de l'indiana fut amené au poste de police parce quil s'amusait à écrire à la craie, sur tous les trottoirs, cette inexplicable inscription : « Remember Pearl Harbor » « Souvenez-vous de Pearl Harbour ». Deux ans donc, avant l'attaque japonaise sur la base du Pacifique.
Certains savants n'excluent plus l'hypothèse, chère aux romanciers, d'une machine à remonter le temps.
« La technique actuelle nous permettra bientôt de manipuler le temps », à déclarer le cosmonaute soviétique Kosirev. « Les progrès de la connaissance de l'univers nous donnerons les moyens d'explorer à la fois le cosmos et le temps à travers d'autres dimensions ». Déjà en 1946, un ingénieur astronome, Emile Drouet, avait réalisé une maquette de machine à explorer le temps. Faute d'argent, il ne put jamais réaliser son projet grandeur nature. Mais des savants reprennent ses idées actuellement en Angleterre, en Suisse et même en France, en 2006 les services secrets de l'armée travaillent sur ce projet. Si ces voyages sont possibles dans un avenir plus ou moins lointains, cela signifie que nos petits-enfants ou arrière-arrière petits enfants pourront voyager dans le passé, revenir au XXe siècle ou remonter encore au-delà. Et cela veut donc dire que dans le passé on doit déjà retrouver la trace de ces visiteurs venus du futur.
Cette trace, selon les disciples du voyage dans le temps, elle existe. Et c'est l'explication de nombreux mystères qui planent encore dans notre univers.<o:p></o:p>
* Il y a 2000 ans, on a trouvé dans un navire qui avait fait naufrage dans les îles grecques un appareil astronomique.
* L'empereur Néron s'était vu offrir par un visiteur inconnu un gobelet en plastique !
* On a retrouvé dans les ruines de Ninive une lentille astronomique taillée à la machine de notre époque, et à Bagdad au milieu de vestiges datant de 226 après, J.C. une série de piles électriques.
Tous ces objets d'un autre siècle auraient fait un voyage dans le passé. « Ils sont tous en expositions dans différents musées du monde ». Avec qui ? En compagnie de voyageurs venus du futur, bien sûr. Car il nen manque pas dans notre histoire de ces personnages connus, ou plus anonymes, dont le savoir paraissait extraordinaire et en avance sur leur temps. Le curieux Michel Scott qui vécut à la cour de Frédéric II de Hohenstaufen et qui savait tout, est de ceux-là. Et le roi Arthur, et le curieux empereur chinois Fo Hi, qui semblait immortel. Et le mystérieux John Dee qui vécut à la cour dElizabeth 1. Et notre immortel comte de Saint-Germain. Parmi les voyageurs du temps il y aurait, encore le célèbre écrivain italien Dante. Dans « la divine Comédie » il fait en effet, allusion a lélectricité non encore découverte et fait une description de la Croix du Sud, une constellation totalement inconnue de lItalie du moyen Age. Le Pape Sylvestre II qui vivait à la fin du Xe siècle avait inventé lorgue à vapeur, lhorloge à pendule, une tête de robot, un appareil qui décrivait le cours des planètes et le paratonnerre bien avant Benjamin Franklin. Sous Saint Louis vivait un curieux juif, nommé Jekiel, qui semblait bien connaître aussi lélectricité. Quand il touchait un clou planté dans un mur de son laboratoire, une flamme bleuâtre sen dégageait en crépitant. Dans les tableaux du peintre flamand Jérôme Bosch on trouve de curieux oiseaux qui ressemblent tout à fait à des avions. « Mais lextraordinaire, commente Robert Charroux, commence lorsquon saperçoit que, sans lombre dun doute, la nef-oiseau porte une antenne munie dun instrument pour mesurer les angles qui nest autre que le goniomètre qu'inventa, trois siècles plus tard, le Français Carangeot. » Jonathan Swift, l'auteur des « Voyages de Gulliver » publiés en 1726, nomme les satellites de Mars et donne les distances et la période de rotation avec une précision déconcertante.
En 1729, un écrivain français Tiphaine de la Roche, explique dans un livre avec fort de détails le principe de la photo en couleur ! On connaît aussi les découvertes « embarrassantes » de Léonard de Vinci, l'aéroplane, le sous-marin, le scaphandre, etc. Mais le plus extraordinaire de tous ces voyageurs du temps, c'est sans doute, le mathématicien italien Roger Boscovich, il vivait en Dalmatie, au XVIIIe siècle, et pourtant dans ses ouvrages, il parle de la théorie des quanta, de la mécanique ondulatoire, de la théorie de la relativité. Il fait une description de la véritable nature de latome. Et se réfère même à la constante de Planck une règle mathématique qui ne sera énoncée que deux siècles plus tard.
Comment expliquer de tels prodiges sinon que nous sommes visités depuis longtemps par des voyageurs du futur ?
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Il se pourrait bien que ce soit eux les mystérieux initiateurs « venus dau-delà des mers » dont on trouve la trace chez tant de populations primitives. Ce pourrait bien être eux, également, ces curieux pilotes d'OVNIS venus dont ne sait où mais dont le savoir est indéniablement beaucoup plus avancé que le nôtre. Les OVNIS ne seraient pas l'oeuvre d'extraterrestre mais d'extratemporels. Des êtres du futur qui auraient découvert la machine à explorer le temps et qui de leur XXIIIe, XXXVIIe ou millième siècle viendraient nous visiter, ayant dominé le temps comme nous l'aurons bientôt fait de l'espace.
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Cet article a été donné à la taverne de l'étrange par son auteur, Claude Burkel, célèbre enquêteur et ufologue de renom. Il écrit également pour la revue Top Secret et on peut le lire dans le dernier numéro. Dorénavant, Claude collaborera avec l'équipe et nous fera partager ses propres enquêtes sur le terrain, son savoir et bien d'autres articles passionnants ; nous l'en remercions à lavance !<o:p></o:p>
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