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Par Tyron29 le 23 Août 2006 à 13:28
Aux Etats-Unis, dans l'état du Kentucky, près de la ville de Louisville, se trouve le sanatorium (hôpital) de Waverly Hills. Il a été construit en 1910, pour soigner les malades de la tuberculose. Les patients étaient enfermés là-bas sans possibilité de sortir pour cause de quarantaine. Jusqu'en 1961, date de sa fermeture, 63 000 personnes sont mortes dans cet hôpital. Après avoir été victimes de nombreuses expériences, sois-disantes médicales de chirurgie exploratrice ( par exemple : les médecins pratiquaient des thoracoplasties, en gros ils sciaient des côtes pour que les poumons se dilatent. Seul 5% des patients survivaient à ce traitement sanglant ), les morts étaient emmenés de nuit ( pour pas que les autres patients se doutent de quelque chose ), dans ce que les gens du coin ont appelés " le tunnel de la mort ". C'était une longue galerie qui courait sur plus de 150 m sous l'hôpital, menant vers une voie ferrée où les corps des décédés étaient emportés. Après sa fermeture en 1961, toutes sortes de faits mystérieux ont été racontés par ceux qui avaient été visiter le sanatorium : apparition d'ombres dans les couloirs, de lumière volante, de chuchotements...
Aujourd'hui de nombreux spécialistes considèrent le lieu comme l'un des plus hantés de la planète. Aujourd’hui, cinq jeunes filles doivent survivre à un bizutage bien débile : passer une nuit dans cet établissement aujourd’hui déserté et abandonné, chacune à un étage. Mais les esprits hantant Waverly Hills n’apprécient guère qu’on vienne troubler leur repos. Quelqu'un joue-t-il à un jeu macabre avec elles ou sont-elles confrontées à des esprits? Il y a quelques mois, les deux frères Booth et leur ami Shame Dax Taylor sont partis tourner un film basé sur les faits réels : Death Tunnel. Pendant le tournage de leur film, eux et leur équipe ont été témoins d'évènements inexpliqués.
Christopher Saint Booth a par exemple prit une photo du tunnel de la mort et au moment du développement de la pellicule, une petite fille est apparu sur la photo. Les autres ont aussi vu des ombres mouvantes dans des couloirs seulement éclairés par la lumière de la Lune et l'un des réalisateurs a été suivi par une boule de lumière...
photo prise à Waverly Hills ( une femme apparaît derrière les amies ! )*
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http://whsmemorial.tripod.com/
http://www.waverlyhillstbsanatorium.com/La taverne de l'étrange- 23 août 2006
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Par Tyron29 le 17 Mars 2006 à 18:59
L'abbaye de Beaulieu
Les moines y ont disparus depuis quatre siècle. Pour quelques privilégiés, ils continuent pourtant dapparaître régulièrement au cur de leur abbaye abandonnée.
La première apparition des moines de Beaulieu se situe dans les années 30. Ce jour-là, un couple damoureux sisole en fin daprès-midi aux abords de labbaye. Ils sasseyent dans lherbe, se disent des mots tendres, échangent des baisers, quand soudain, ils se sentent éloignés l'un de l'autre, attirés en arrière par une force invisible. Se tenant par la main, ils essayent de se rapprocher, mais n'y parviennent pas. En quelques secondes, le jeune homme se retrouve à cinq mètres de sa fiancée. Elle pousse un cri de frayeur, appelle à laide, mais il est dans l'impossibilité d'intervenir et d'éloigner ces forces qu'il juge maléfiques. En fait, il s'agit de fantômes de moines, probablement choqués par ces gestes osés en un tel lieu
Mais cela, le couple ne l'apprendra que plus tard ! Durant la Seconde Guerre mondiale, un régiment britannique fait halte près de la chapelle de Beaulieu, cette dernière a été fondée par les Cisterciens en lan 1204 et a prospéré jusqu'à ce que le roi Henri VIII décide sa fermeture en 1538. Depuis les années 1930, les habitants savent qu'en fait les moines n'en sont jamais vraiment partis. Et dans la région, tout le monde en était convaincu depuis quatre siècle déjà ! Les villageois échangeaient à la veillée des histoires de fantômes quils racontaient à leurs petits-enfants et qui, ainsi enjolivées, traversaient les siècles. Mais revenons à cette année 1943. Une unité anti-aérienne campe près de l'abbaye, envoyée pour une mission spéciale. Dans la nuit, les officiers se réunissent pour établir un plan de campagne pour les jours qui viennent. Ils sont sous une tente et conversent ardemment, lorsqu'un souffle étrange agite le campement.
En cette soirée d'été, il n'y a pas le moindre brin de vent, aussi plusieurs militaires pensent-ils à une soudaine tornade. Plusieurs d'entre eux quittent la tente, regardent aux alentours, voient les feuilles des arbres voler, les branches s'agiter, sans ressentir sur leur visage le plus petit souffle d'air. Ils sont tous réunis et s'interrogent sur ce mystère lorsqu'ils voient un groupe de moines sortir de la chapelle. Le colonel les interpelle, mais les moines ne répondent pas. Un capitaine court dans leur direction et traverse le groupe sans toucher personne. Il n'y a plus aucun doute à avoir : ce sont des fantômes !
Très réalistes, les officiers ne croient pas aux fantômes habituellement et ceux-là ne font pas exception à la règle. Un mirage alors ? Ils sont prêts à le croire quand celui qui paraît être le chef des moines, c'est-à-dire le père supérieur, s'approche très près deux et les informe d'une prochaine attaque aérienne dans la région. Puis il disparaît Quarante-huit heures après, des avions de la Luftwaffe survolent l'abbaye de Beaulieu
Une nuit de l'année 1951, quelques jours avant Noël, Michael Sedgwick travaille d'arrache-pied à son bureau, vers minuit. Directeur de recherches au musée de l'Automobile de l'abbaye de Beaulieu, Sedgwick travaille fréquemment la nuit, fumant cigarette sur cigarette. L'atmosphère est si enfumée qu'il ouvre la fenêtre pour aérer la pièce avant de partir se coucher. C'est alors qu'il perçoit des chants catholique très proches. Il affirmera plus tard :
« Cette musique douce, interprétée par des voix mélodieuses, venait par vagues irrégulières, comme si elle sortait d'une radio en mauvais état de fonctionnement. Les chants étaient si beaux qu'aussitôt j'essayai de les capter sur mon propre poste de radio. Mais aucune station ne diffusait une telle musique. Je dus me rendre à l'évidence : un groupe d'hommes interprétaient ces chants religieux ! »
Ce même soir, à deux kilomètres de là, Bertha Day, l'intendante de l'abbaye, entend elle aussi les cantiques. Aux enquêteurs, elle affirmera le lendemain : « Je savais que ma voisine, Mme Mears, venait de mourir. Je crus que des prêtres avaient été appelés pour dire une messe à son chevet et je ne me posai pas d'avantage de questions. »
En fait, Mme Mears n'était déjà plus à son domicile ce soir-là. Les enquêteurs, ainsi que Michael Sedgwick et Bertha Day, comprendront un peu plus tard que ce sont les moines de l'abbaye qu'ils ont entendus ce soir-là chanter une messe. Durant quelques semaines, la police alertée tente de découvrir si des squatters n'ont pas pris possession de l'abbaye, à l'insu du propriétaire. Mais non : aucun moine et aucun squatter ne vit plus à Beaulieu depuis des siècles. Seul le révérend Robert Fraser Powles affirme entretenir avec les moines, ou plutôt leurs fantômes, d'excellentes relations. Il en connaît plusieurs par leur nom, en tutoie certains. Ce sont des hommes morts au début du XVI ème siècle mais qui reviennent à chaque Noël pour célébrer un office dans l'église du village. Le 24 décembre de lannée 1958, lorsqu'un fidèle fait remarquer au révérend Powles qu'il y a très peu de monde pour suivre la messe de minuit, ce dernier répond : « Il y en a beaucoup plus que vous ne voyez ! »
Et aussitôt des choeurs venus de l'au-delà résonnent harmonieusement dans la petite église. En 1965, l'actrice Margaret Rutherford (la célèbre miss Marple d'Agatha Christie au cinéma ) se promène dans la région. C'est ainsi quelle rencontre un moine vêtu d'une longue robe brune, lisant dans les ruines du cloître. Elle appelle aussitôt un paysan cultivant son champ à quelques mètres de là, pour qu'il constate la présence de ce moine lui aussi. Mieux : elle photographie l'homme d'église appuyé contre un mur. Au développement, le moine ne sera plus sur la photo et seul le mur en ruine apparaîtra. Entre 1940 et 1980, les apparitions de moines sont si fréquentes à Beaulieu que toute l'Angleterre parle de l'abbaye.
Une équipe de cinéma se rend dans la région pour y tourner un film d'épouvante. Mais les fantômes de l'abbaye n'aiment pas qu'on se moque deux ! Alors qu'un technicien descend les marches d'un escalier tournant, au coeur du monastère, il entend des pas derrière lui mais ne voit personne. Un peu plus bas, il croise le metteur en scène et l'un des interprète du film, auxquels il dit sa frayeur. Les trois hommes entendent alors très distinctement les pas se précipiter dans leur direction.
Ils ont même l'impression d'être piétinés, dépassés, puis cette cavalcade s'éloigne vers le bas, preuve qu'ils ont été croisés par des personnes invisibles. Plusieurs comédiens affirmeront même avoir vu pénétrer dans le cimetière, une nuit, plusieurs moines suivant un enterrement ! Dans tous les cas, les descriptions des fantômes sont identiques : les moines sont vêtus de marron, habit des frères de l'époque qui, plus tard, sest transformé en robe blanche. Et cela, personne ne pouvait le savoir !
L'abbaye de Beaulieu appartient à la famille de Lord Montagu depuis 1673. Les Montagu refusent de toucher à la moindre pierre du monastère et déclarent que les fantômes sont des amis pour l'éternité et qu'ils seront toujours ici chez eux !
Le château du DouhetFantômes, revenants, apparitions, spectres et esprits frappeurs se manifestent souvent dans les châteaux ou autres demeures chargés dHistoire. Ces bâtisses, qui ont pour la plupart connu les guerres de religion et la Révolution, ont souvent été le théâtre de complots, de crimes, de meurtres, de massacres et autres évènements tragiques. Les fantômes, qu'ils aient été heureux, malheureux, martyrs, ou quils aient simplement souffert, noublient pas. Ils ne quittent jamais leurs maisons. On ne les rencontre jamais ailleurs et ils napparaissent que dans leurs décors d'origine.Le château du Douhet, qui se trouve à mi-distance, environ, de Saintes et de Saint-Jean-d'Angely, est entouré d'un parc dune vingtaine d'hectares et d'une magnifique forêt de buis centenaires, dont beaucoup, hélas, n'ont pas résisté à la terrible tempête de décembre 1999.
« Une des chambres du château est hantée, tout cela est de notoriété publique, reconnaît Jacques Tanner, le dynamique maire de cette commune qui regroupe six cent cinquante habitants. » Le premier élu est fier de ce monument historique, un des trésors de Saintonge, qui accueille chaque année des milliers de visiteurs, tout comme la magnifique église romane du XII° siècle, située à proximité et qui a été restaurée récemment. Mais revenons au château actuel, construit vers 1680- peut-être par Vauban- pour le compte du seigneur Renaud de Pons, sur les ruines d'un ancien château fort détruit par un incendie en 1652. A lintérieur, il faut absolument voir le salon en forme de lanterne- d'où son nom de « salon de la lanterne »- de superbes boiseries, sculptures et moulures dépoque. Dans le parc, un aqueduc alimente deux bassins, situés sous les fenêtres du château, à proximité dun amphithéâtre romain.
Depuis 1946, le château du Douhet est la propriété de la famille Damilleville. « Mes parents- ils sont aujourd'hui décédés- avaient lu une annonce et avaient tout de suite eu le coup de foudre, se souvient Alain, un homme de soixante-quinze ans, l'un des treize enfants de la famille, et qui s'occupe de l'entretien de la propriété. Dans une partie du château, mon père avait installé ses ateliers de confections. Mais au bruit des machines à coudre se sont bientôt ajoutés d'autres bruits dérangeants, un vacarme étrange, inexplicable. »
Dabord sceptique, Jean Damilleville va se ranger à l'avis d'Andrée, son épouse. Il alerte l'exorciste du diocèse de Saintes qui se rend sur place et officie en dispensant son rituel dans chacune des pièces. Mais les phénomènes ne s'arrêtent pas pour autant et, le soir même, les volets se mettent à claquer, les fenêtres s'ouvrent et se ferment sans raison apparente alors que le temps est calme et qu'il n'y a pas de vent. Parallèlement à ces faits, vont se produire, dans l'une des chambres, d'autres manifestations plus étranges encore, voire carrément inquiétantes. Un écriteau placardé à lentrée de la chambre prévient du reste les visiteurs que cette alcôve est restée inoccupée suite à certains faits « inexpliqués » et qu'il est interdit d'y pénétrer.
Ce qui sest déroulé dans cette chambre dite jaune- depuis que FR3 y a tourné un film d'après l'oeuvre de Gaston Leroux- fait en effet froid dans le dos !
Toutes les victimes, qui ont dormi là, sont unanimes : elles ont dabord l'impression que quelqu'un est assis au bord du lit. Puis elles ressentent une pression ou un poids, d'abord sur les pieds, puis sur les genoux et enfin sur la poitrine. « Beaucoup de gens ont pu constater ces phénomènes, précise Alain Damilleville. Des membres de la famille, bien évidemment, mais aussi dautres personnes également qui, avant la visite de l'esprit, n'étaient au courant de rien. Barbara, par exemple, une amie de ma soeur aînée, qui est ensuite devenue ma femme. »
Les intéressés ressentent comme un malaise, un début de paralysie. Cest généralement à ce moment-là quils se réveillent ! Tous ceux-là ne sont pas près doublier ! Mais qui est donc cet esprit « coucheur » ? Personne ne peut le dire, ces faits restant inexpliqués. Pourtant il y aura 10 ans, A. Damilleville a reçu une visite surprenante. Celle d'un médium. « J'ai été contacté par des esprits, affirmait celui-ci. Il y a eu ici des morts violentes » Tout en parlant, l'homme sest dirigé vers la chambre jaune, puis celle, toute proche, de Mgr de la Rochefoucauld, l'évêque de Saintes assassiné à Paris en 1792, avant de revenir sur ces pas.
« C'est ici, j'entends parler Je vois des dames en crinoline s'enfuir, emprunter un escalier, poursuivies par des hommes revêtus de grands chapeaux et armés de fourches. Il y a aussi des baïonnettes aussi J'entends des cris »
La vision s'est arrêtée là, que s'est-il exactement passé dans ces lieux ?
de Camille Flammarion« Le château a été pillé à la révolution, raconte Alain Damilleville, mais je ne savais pas qui'l y avait eu des morts violentes car, ce qui est extraordinaire dans le témoignages du médium, c'est que la chambre hantée a été créée, au début du siècle, par un ancien propriétaire. Avant, c'était une entrée. Et derrière la cloison, il y a effectivement un escalier qui mène à des appartements situés à l'étage supérieur »
Le « fantôme coucheur » est-il celui d'une de ces personnes poursuivies par les pillards et qui cherche la sortie ? Nul ne peut le dire. Ce qui est sûr, cest que le château du Douhet est riche en événement qui ont jalonné les siècles. Architecture, Histoire et frissons il mérite le détour ! Alors, si vous êtes de passage, nhésitez pas. Vous aurez peut-être la chance de croiser le fantôme des lieux
Le manoir du tertreDans ce manoir breton de la forêt de Brocéliande, au pays de la fée Viviane, du roi Arthur et de Merlin l'enchanteur, on peut admirer un magnifique tableau représentant une dame blanche. Une femme très belle au regard perçant. Ses yeux vous suivent quand vous vous déplacez dans la pièce Mais ce nest rien comparé à ce quont vécu les propriétaires du manoir du Tertre : parfois, la dame descend du tableau !
La chose est connue : dans cette région de Paimpont, à 35 km de Rennes, sur la route de Vannes, il se passe des choses étranges au manoir ! Aux limites du réel, des fantômes prestigieux sy donnent rendez-vous Anne-Marie et Wilhem Ordelman n'auraient jamais dû acquérir le manoir.
« Dans cette histoire, rien n'est normal, explique Anne-Marie. Moi, je suis bretonne, des Côtes-d'Armor. Mon nom de jeune fille est Quintin. Mon mari est hollandais et nous vivions en Hollande. Et voilà qu'en 1995, au cours d'un séjour en Bretagne dans ma famille, et pour fêter leur anniversaire de mariage, il débarque au manoir du Tertre, un hôtel-restaurant datant de 1601. Passionnée d'ésotérisme, j'avais entendu parler du fameux tableau représentant l'ancienne propriétaire de l'hôtel, connue pour ses dons médiumniques, Geneviève Zaepffel, née au manoir en 1892 et morte chez elle le 21 juin 1971."
Nous étions le 5 mai 1995. On nous installe dans la salle du restaurant pour déjeuner. Je m'absente pour aller aux toilettes, bien décidée aussi à en savoir plus sur le tableau. En revenant, je tombe nez à nez avec le propriétaire. « Bonjour, Madame, je vous attendais, car c'est vous qui allez reprendre mon manoir ». Il avait dit la même chose à mon mari, quelques instants plus tôt. Je lui ai répondu qu'il n'en était pas question, que notre vie était en Hollande, et que nos affaires marchaient très bien « Si, si Vous verrez », insista-t-il. Bref, nous repartons en Hollande. Mais je ne pensais quau manoir. Impossible de travailler, de tenir le secrétariat, la comptabilité de notre entreprise. Chaque matin, à 4h, je me réveillais, je pensais au manoir et à la médium Geneviève. J'avais appris son destin hors du commun. Ses conférences et ses prédictions à la salle Pleyel, à Paris, en 1936, 1937, devant quatre à cinq mille personnes. La visite du général de Gaulles au manoir, en 1946, à qui elle avait prédit l'Europe et la monnaie unique, l'Euro ( ), pour l'année 2000 !
Oui, la mère du général était enterrée à Paimpont . Je sus aussi, que Geneviève était
tuberculeuse étant petite, vouée à une mort certaine, lorsqu'à sept ans, elle eut une vision : en haut du grand escalier du salon lui apparut un « druide à barbe blanche ». Il sagissait en fait de saint Judikaël ( 560-652 ), un roi breton qui fonda l'abbaye de Paimpont. A partir de cette « rencontre », sa maladie disparut miraculeusement. »
Quelques semaines, plus tard, attirés par une force irrésistible, Anne-Marie et Wilhem reviennent au manoir : « Je vous attendais, leur dit encore le propriétaire. Je vais devoir fermer, mon hôtel nest pas aux normes . J'avais un rendez-vous à Rennes pour obtenir un délai, mais je n'irais pas. Allez-y à ma place, puisque vous allez me rachetez l'hôtel ! »
Retournés, les époux étudient le dossier, et se retrouvent devant la commission préfectorale et obtiennent un délai ! Ils se sentent soudain investis d'une mission par Geneviève, dont l'esprit habite les lieux : l'établissement ne doit pas fermer ! Mais le propriétaire, lui, refuse de continuer. Alors, très vite le couple décide de tout plaquer et d'acheter !
« Après avoir signé l'acte de vente qui stipule que le tableau ne doit jamais changer de place ( une des dernières volontés de Geneviève ! ), raconte Anne-Marie, je me suis planté devant le tableau et lui ai lancé : « Bon maintenant, c'est fait, mais il faut nous aider, nous ne sommes ni hôteliers, ni restaurateurs ! En guise de réponse, le tableau ma souris ! »
geneviève zaepffelLes nuits suivantes, les nouveaux propriétaires ne vont guère dormir et faire connaissance avec les « phénomènes » Anne-Marie dort au dernier étage dans une des huit chambres du manoir, baptisée Rêve. Au milieu de la nuit, elle s'éveille et voit au pied du lit Geneviève, debout, qui lui sourit, habillée de sa longue robe blanche. Une autre nuit, elle verra le « druide barbu », saint Judikaël, ou des formes évanescentes à contours humains. Un soir, le lustre du salon se met à tourner comme une toupie. Les chasse-d'eau aussi se déclenchent toutes seules.
Une porte d'armoire claque toute la nuit Dans la chambre du chevalier, les lumières s'allument sans raison. Wilhem va éteindre, trois, quatre, dix fois, puit finit par les laisser allumées puisque telle est la volonté du fantôme ! La nuit, aussi, au plafond on entend quelqu'un marcher d'un pas lourd, mais il ny a personne ! Un autre soir, devant la façade, Ils entendent lénorme souffle de quelqu'un qui respire difficilement, comme un géant asthmatique Aujourd'hui, le manoir du Tertre est à nouveau fermé ( à l'époque en 2000 ). Il doit subir des travaux pour satisfaire aux normes européenne et s'agrandir de douze chambres nouvelles. Coût des transformations : dix millions de francs !
« Pour l'instant, on cherche toujours les fonds, mais on pense qu'on les trouvera, se rassurent les époux Ordelman, notre fantôme ne veut pas que son manoir ferme et tout se passe toujours comme il la décidé »
Pour plus d'info, voici le site officiel du manoir du Tertre
http://manoirdutertre.free.fr/
Aujourd'hui, le manoir est ouvert en toute saison, et le couple vous y attend chaleureusement.
Alors passez les voir et profitez pour visitez la forêt magique de Brocéliande
Voici quelques histoires sur la France de l'étrange
Le fantôme de Souvigny ( Alliers )
En 1956, une jeune femme fit lacquisition du prieuré de Souvigny. Quelque temps après, elle tomba nez à nez avec le fantôme dun moine. Comme les apparitions se répétaient, elle put le photographier. On distingue dailleurs nettement sur les photos la silhouette dun moine encapuchonné. Elle put même le toucher et sentir une sorte de brouillard glacial.
Le vampire de Sainte-Geneviève- des-Bois ( Essonne )
Dans le cimetière russe de cette commune de lEssonne, on peut trouver les sépultures de beaucoup de dignitaires de la Russie tsariste. Lendroit est impressionnant, dautant quil serait habité par un vampire. Devant lune des tombes, en effet, on ne peut sempêcher de sentir une présence. Selon certains, des offrandes seraient offertes au vampire pour quil ne fasse pas de nouvelles victimes.
Le moine de Sainte-Flaive-des-Loups ( Vendée )
Le scénario est toujours le même. Un moine en bure monte dans une voiture, silencieux, jusquà ce que, immuablement, il lance aux passagers : « Le printemps sera chaud, lété sera brûlant, lautomne sera sanglant », avant de disparaître brusquement. Dernière apparition en 1983. Depuis on sinterroge toujours dans la région sur le sens caché de cette prophétie.
Les défunts de Saint-Martin-Lys ( Aude )
La légende dit que, chaque année, dans les nuits du 15 au 16 août et du 1er au 2 novembre à Saint-Martin-Lys, ou plutôt à labbaye de Lez, les défunts célèbrent une sarabande. Cette cérémonie aurait lieu depuis le massacre en 1573 de 200 moines par les huguenots. En souvenir, à ces dates, on entend les cloches tinter et des chants liturgiques. Effet garanti !
Le château hanté de Saint-Jean-dAngély ( Charente-Maritime )
Le château du Vert-Galant ne possèderait pas seulement un trésor dans ses caves. Des recherches, effectuées il y a quelques années, ont donné des sueurs froides aux témoins. Portes qui claquent puis qui souvrent brusquement, hurlements, coups dans le mur, toutes les caractéristiques du poltergeist étaient réunies. D'après un médium, les fouilles pratiquées autour dune salle de torture avaient dérangé les esprits.
Le parfum de la Malmaison ( Hauts-de-Seine )
A la Malmaison ( Rueil-Malmaison ), le château que Joséphine de Beauharnais occupa après son divorce davec Napoléon, son souvenir olfactif serait toujours présent. Les murs, en dépit du temps, des nombreux travaux et restaurations dont les pièces ont été lobjet, exhalent encore les parfums floraux quelle affectionnait. Selon certains, le parfum aurait été mélangé au mortier et se disperserait en fonction du temps.
Le peuple cavernicole de Paris
Les restes de plus de dix millions de Parisiens de toutes les époques sont enfouis à quelques mètres sous terre, dans les catacombes. Ces charniers, dans lesquels on pourrait rencontrer Molière, Rabelais ou Robespierre, ne sont pas, selon les professionnels de létrange, des repères à fantômes. On ne compterait en effet quune dame blanche et un homme sauvage, qui a donné à Gaston Leroux lidée d'une peuplade cavernicole vivant sous nos pieds.
Le rendez-vous des désespérés ( Paris )
Situé face à lhôpital Sainte-Anne, un immeuble aurait la particularité dattirer les désespérés de la Capitale, tentés de mettre fin à leurs jours, mais également des personnes nayant aucun problème particulier. A lui seul, cet immeuble aurait déjà fait plus de victimes que la tour Eiffel, le rocher des Buttes-Chaumont et lArc de Triomphe.
Les HLM hantés de la Ville de Paris
Si étrange que cela puisse paraître, les offices HLM garderaient une centaine dappartements inoccupés, en raison des esprits qui auraient décidé de les squatter. Ainsi square La-Bruyère, un appartement resterait sans locataire, tous les précédents ayant subi des évènements tragiques.
Le crâne maya du musée de lHomme ( Paris )
Le musée de lHomme possède dans sa collection un très rare crâne maya en cristal de roche qui aurait une fâcheuse tendance à se déplacer tout seul. Alors quon lavait dans une vitrine, on le retrouvait pourtant au petit matin déplacé de quelques centimètres ou renversé. De quoi provoquer la frayeur des gardiens. Cet ornement aurait servi lors de sacrifices humains. Un modèle identique appartient au musée de Londres, où les mêmes phénomènes se produisent. Leurs anciens propriétaires seraient tous décédés de mort violente.
La dame blanche de Montpichon ( Manche )
Près du cimetière de ce charmant village, vers la vallée de la Soule, une dame blanche ferait une apparition tous les 14 du mois. Dans les années 80, on venait par cars entiers assister au spectacle. Et si les gendarmes nont jamais pu prouver la supercherie, des milliers de curieux auraient, eux, aperçu cette forme déambulant dans la campagne.
Le château hanté de Blandy-les-Tours ( Seine-et-Marne )
Le château féodal de Blandy est lun des plus hantés de France. On aperçoit parfois, paraît-il, le fantôme du comte de Dunois, fils naturel de Louis, duc dOrléans et compagnon de Jeanne dArc. Il sy montrerait parfois sur son cheval, dans lentrée ou dans la tour.
La maison des Anglais ( Marcilhac-sur-Cété, Lot )
Si lon vous propose de passer la nuit dans la maison des Anglais, sachez que la demeure a la fâcheuse réputation de porter malheur à ses occupants. Des propriétaires récents en auraient été victimes de manière inexpliquée. Elle aurait été le théâtre de scènes atroces durant la guerre de Cent Ans. Des médiums affirment que la clé du mystère est dans les caves.
La bûche tueuse de Dol-de-Bretagne ( Ille-et-Vilaine )
Curieux objet que celui qui repose à labri dans la vitrine du musée de la ville. Il sagit simplement dune bûche, à peine entaillée de quelques coups de haches et qui aurait tué plusieurs personnes tentant de la couper. Aucun candidat ne sest présenté depuis.
Le fantôme de Carier ( Nantes, Loire-Atlantique )
Responsable des effroyables noyades de Nantes qui, pendant la Révolution, causèrent la mort de plus de 1500 personnes, Carier hanterait encore la maison quil occupa place du Commerce. Pour les esprits les plus cartésiens, il sagirait plutôt dune source souterraine, qui provoquerait les bruits étranges.
Le trou sans fond de Colembert ( Pas-de-Calais )
Au moment de la Fête-Dieu, chaque année, mieux vaut éviter le trou sans fond de Colembert. A cette date, après minuit, des appels désespérés dâmes maudites se font entendre. Il sagirait des victimes dun accident de carrosse, qui autrefois avaient refusé de céder le passage de la procession de la Fête-Dieu.
Les âmes des Gaulois de Saint-Etienne-du-Vigan ( Haute-Loire )
Les soirs dorages, il serait courant d'entendre le fracas des armes sur les lieux d'une bataille où les Gaulois furent étripés par les Romains. Gémissement, hennissements, hurlements des guerriers sont au menu de cette hantise d'un type un peu spécial.
Les animaux fantômes
Les apparitions fantomatique seraient-elles réservées exclusivement au genre humain ? La question est légitime, alors même quil apparaît que les animaux, de compagnie particulièrement peuvent aussi avoir leurs fantômes. De nombreux cas de revenants apparaissant avec un chien ou un chat ont été rapportés, ainsi que des cas de fantômes enfourchant un cheval. Quand ce nest pas un attelage complet qui apparaît devant les yeux éberlués du témoin. Chateaubriand rapporte, lui, quune pièce de son château de Combourg était souvent le théâtre de plaintes et de miaulements répétés et inexpliqués. Or, lorsque des travaux furent effectués, on découvrit dans le plafond, la momie dun chat, emmuré. Il sagissait dune tradition, et cela devait porter chance à une maison. Aux anciens abattoirs à chevaux de Paris, on raconte que, à lendroit où les chevaux était envoyés à la mort, une tache sur le sol représentait le profil dun cheval, les yeux exorbités, comme effrayé
Le presbytère de BorleyDemeure de deux fantômes sans tête et de celui d'une nonne, qui aurait été assassinée, le presbytère de Borley était autrefois connu pour être la demeure la plus hantée d'Angleterre. Parmi les nombreuses activités des esprits frappeurs que les propriétaires durent endurer, on trouve des murmures, des tintements de cloches, des bruits de pas et des messages gribouillés sur les murs. Un journal fit appel au chasseur de fantômes Harry Price pour élucider ces mystères et celui-ci écrivit deux livres sur le sujet. Mais son travail de détective fut critiqué par les membres de la Société pour la Recherche psychique qui trouvèrent des explications rationnelles à la plupart des phénomènes dont Price et dautres avaient été témoins. Finalement, Marianne Foyster, lépouse du révérend Foyster qui avait autrefois habité le presbytère, avoua que son mari avait manigancé toutes ces soi-disant hantises dans lespoir de vendre son histoire à la presse. Pourtant, après la destruction du bâtiment dans un incendie, en 1939, l'activité des fantômes reprit bel et bien dans les ruines
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Par Tyron29 le 15 Avril 2005 à 18:33
Etat de New-York, un adolescent de 24 ans assassine 6 membres de sa famille à 3h15 du matin pendant qu'ils dormaient. Pendant son procès, 1 ans plus tard, il racontera à ses juges qu'il a exécuté des ordres formulés par des voix surnaturelles qu'il entendait depuis des mois.
18 Déc. 1975, la famille Lutz emménage dans des lieux connaissant l'affaire, ils feront appel a un prêtre pour bénir la maison, mais ce dernier à peine a t'il franchit l'entrée, qu'il est prit de malaise, aussitôt il projettera l'eau bénite sur les murs qu'une voix surgit de nulle part lui dit " Va t'en..!! "... il repartit illico au volant de sa voiture et eu beaucoup de difficulté a rentré, car il ne controlait plus son véhicule. Par la suite, la famille Lutz connurent beaucoup de problème surnaturels au alentour de 3h15 du matin... Finalement, ils quitteront la maison " maudite " en laissant tout derrière eux, aujourd'hui ils vivent dans un autre état... Mais voici l'histoire détaillée des faits :
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Toutes les croyances surnaturelles ont leur symbole. On ne saurait parler des Ovni sans évoquer laffaire Roswell et on ne saurait parler des maisons hantées sans évoquer Amityville.
Petite bourgade de Long Island, dans létat de New-York, dont lhistoire remonte à plusieurs siècles. Elle existait avant même la révolution américaine ; ce qui est aujourdhui une cité résidentielle un peu rustique appartient au folklore officiel des indiens damérique, et la proximité dun cimetière indien a souvent été soulignée dans les comptes rendus sur la fameuse maison hantée. Il faudrait aussi parler de la maison qui occupait jadis le même site que celle-ci et qui fut habitée par lune des sorcières de Salem, la seule qui échappa aux procès. George et Kathleen Lutz savaient, en sinstallant avec leurs enfants dans la demeure qui domine la baie, quune série de meurtres avaient eu lieu lannée précédente à lintérieur de ces murs, mais son prix extraordinairement peu élevé avait triomphé de toutes leurs réticences. Ils ne tardèrent cependant pas à comprendre pourquoi personne navait voulu emménager là avant eux.
En 1974, la famille DeFeo occupait la maison dAmityville et, un soir de Novembre, Ronnie DeFeo, âgé de 23 ans, assassina à coup de fusil son père, sa mère, ses frères et ses surs, sans quon sache très bien pourquoi. Les Lutz pendirent la crémaillère quelques mois plus tard. Les quatre semaines qui suivirent leur installation furent marquées par toute une série dincidents étranges. Courants dair inexplicable dans certaines chambres, portes se bloquant comme si elles étaient fermées à double tour alors quelles navaient même pas de serrure Puis le fantôme dun des enfants DeFeo entra en contact avec Kathy, la cadette des Lutz, pour lui expliquer que la maison naimait pas son père, George Lutz. Vrai ou Faux ? Toujours est-il que la personnalité de George saltéra rapidement : il se fit si agressif quil perdit ses amis et son travail, et ses relations avec sa propre femme et ses enfants devinrent impossibles. Le plus étrange, cétait la modification de son apparence physique. Petit à petit, George Lutz ressemblait à Ronnie DeFeo. La chose était évidente pour les habitants dAmityville qui avaient connu lassassin. Kathleen Lutz navait quà regarder danciennes coupures de presse pour vérifier quon ne lui mentait pas : son mari, sous linfluence de la maison, était entrain de vivre réellement une « aventure » assez proche de celle de Jack Torrence dans le roman de S. King « Shining » avec Jack Nicholson. Lhistoire de la famille Lutz donna lieu à un film après avoir dabord donné lieu à un livre « the amityville horror » qui fut très vite un best seller. Cette affaire Amityville intéressa le journaliste Jay Anson, mais avant de se lancer dans des travaux de recherche et dans la rédaction dun ouvrage, il voulut dabord avoir lassurance quon ne se moquait pas de lui, et il alla voir le prêtre des Lutz. Curieusement, ce dernier, le révérend John Nicola, se trouvait être lun de ses amis et avait servi de conseiller technique pour le film lExorciste ; il confirma tous les dires de la famille Lutz. Le journaliste interviewa alors les Lutz pendant des heures et des heures, et il tira donc de la transcription de 35 bandes magnétiques le livre intitulé The Amityville Horror. Visiblement les Lutz croyaient en leur histoire, mais lui-même croyait-il les Lutz ? Il a laissé planer, semble-t-il, un silence ambigu chaque fois que la question lui a été posé. En tout cas, le livre allait rester plus dun an en tête des best seller du New-York Time et atteindre un tirage de plus de 4 millions dexemplaires.
La taverne de l'étrange- 26 Déc.2005
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